Le mythe de Sisyphe
Dans l’histoire Le mythe de Sisyphe, il s’agit d’un personnage qui fait la même chose – roule une pierre au bord d’une montagne – pour l’éternité. Camus lie cette action au travail qui est faite par les ouvriers du monde moderne. Il généralise cette comparaison à tous le monde et dit que la vie de chacun est comme la vie de Sisyphe – monotone, cyclique, et sans direction. Cette vue de la vie, en générale, est très sombre et assez pessimiste. Le but de la vie est une question éternelle, comme le roulage de pierre pour Sisyphe, à qui personne ne peux répondre avec satisfaction pour les centaines. On vit la vie est chacun trouve les raisons divers pour donner une « raison d’être » pour sa vie. Mais Camus veux dire que tout cela est inutile et futile et que nos vies sont sans direction. Il dit aussi que nous ne sommes pas conscients de ce fait. La conscience de ce fait nous tortue ; c’est peut-être pourquoi nous ne pensons pas à notre lamentable condition et choisissons rester dans ce monde cyclique, invariable, sans objectif. Mais il y aussi un autre raison – l’homme moderne n’a pas besoin de beaucoup pour créer un raison d’être. «La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme» ; on a besoin d’un but pour passer les jours et on trouve les raison simples. On a besoin seulement de apaiser son conscience et la discordance psychologique, et ce ne nécessite beaucoup.
Quand nous sommes petits, nos parents decident la direction de nos vies. Plus tard, aller à l’école est simplement pour passer les exames, recevoir les bonnes notes, et entrer l’université. Après l’université, qu’est-ce que on fait ? On trouve toujours les nouvelles raisons pour vivre. À chaque etape, nous ne sommes pas contents d’avoir achever le but, mais on trouve des nouveaux buts. Ce nous donne un sense d’accomplissement, d’importance, comme la vie n’est pas vraiment cyclique. Mais nous avons tort, parce que la vie est toujours la même – nous dormirons, nous mangeons, nous mourons. Dans les grands institutions comme les universités et les corporations, la plupart de personnes reste inconnu, inimportant, inconsequent. Sauf leurs patrons proches et leurs familes, personne ne se rende pas compte de l’importance de leur travail. Mais c’est un perspective aussi pessimiste et cynique. Dans un sens, au même temps, c’est la realité. C’est pourquoi nous creons les « buts » pour nous-mêmes.
Même que la vie est cyclique et sans fin (sauf la mort), elle n’est pas tragique parce que nous ne nous rendons compte pas de ce cyclicité. L’histoire est different pour Sisyphe, qui est conscient du cyclisme de sa vie chaque fois quand le pierre retombe au bas de la montagne. Camus veut dire que nous, les personnes dans le monde, ne sont pas assez chanceux, parce que cette conscience nous manque. On dit que l’ignorance est le bonheur, et peut-être c’est vrai. Quand norte monde est limité et nous pensons que « tout est bien », nous allons au travail sans hesitations. Nous ne sommes pas troublés ou torturés par les éspoirs irréels ou les reves d’un monde plus belle que le notre. Nous roulons le pierre au sommet de la montagne, et ne le trouvons pas penible ou insupportable.