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History of Alsace and Lorraine

Final Report: The History of Alsace and Lorraine – from the Celts to Present Day

prepared by
Alexander Kennedy and Pavel Borokhov

an independent study under the direction of James Kaiser

Contents

Les Premières Gens de la Région

L’histoire de la région d’Alsace et Lorraine est très vieille et intéressante. Nous commençons nos recherches aux années 1500 av. J.-C. Dans les années 1500 av. J.-C., les tribus celtes, qui sont nomades peupla la région. Presque le née du Christ, les Romains conquirent la région et cultivèrent les raisins pour faire le vin. Ils améliorent la région par construire les routes entre les villes et les fortifications autour les villes. La ville Divodurum fut la ville principale de domaine Romain Gaule, et elle devint la ville du Metz plus tard. Les Romains construisirent un grand forte qui s’appelle Argentoratum, qui devint Strasbourg plus tard. On voit que les Romains créèrent les plus grandes villes de la région avant le née du Christ. La domination Romaine continua jusqu’au cinquante centième.

Dans les années 200-300, les Romains, Alamans, et Francs se furent battus plusieurs fois. En 396, les Romains enrôlent des Francs et des Alamans pour défendre la frontière du Rhin contre les Huns. Avec la décadence de royaume romain, les habitants de la région continuèrent ses vies sans beaucoup des altérations. Les officiels simplement ne furent pas responsables aux officiels Romains. Les gens continuèrent ses vies agricoles. Après l’invasion des Francs avec Clovis en 496, les Alamans habitèrent côte à côte avec les Gaules et les Francs. Aux mêmes temps, on voit pour la première fois la progressive division de Lorraine dans deux parties : le nord allemand et le sud franc. Prés de 500 les Francs en Alsace essayèrent de convertir les gens païens à christianisme. Quand Clovis mourut, ses fils divisèrent son royaume entre eux-mêmes et Alsace et Lorraine devint des parties du royaume d’Austrasie, gouvernèrent par Theuderic I.

L’époque de Charlemagne et après

Dans l’époque de Charlemagne (724-814), l’Austrasie devint le centre géographique de son royaume carolingien. Dans cette époque beaucoup monastères furent construits et il y eut beaucoup de prospérité. Après le mort de Louis le Pieux, fils de Charlemagne, en 840, son fils aîné Lothaire (à droite) assuma la position de roi du royaume. Ses frères, Charles le Chauve et Louis le Germanique, ne furent pas contents avec ça et ils défirent Lothaire à la bataille de Fontenoy-en-Puisaye en 841. Les deux frères renforcèrent leur alliance par le Serment de Strasbourg, et finalement Lothaire agréa faire paix.

Le Traité de Verdun de 843 divisa le royaume de Charlemagne dans trois parties. Charles reçut la partie d’ouest, la Francie occidentale, qui deviendra la France. Louis reçut la partie d’est, la Francie orientale, qui deviendra la Germanie. Finalement, Lothaire garda la partie centrale, qui deviendra les Pays-Bas, la Lorraine, l’Alsace, la Bourgogne, la Provence, et l’Italie. Lothaire mourut en 855 et son fils, Lothaire II, succéda à lui en Lotharingie. Les autres fils reçut autres parties du royaume de Lothaire Ier.

Lothaire II ne régna pas beaucoup de temps ; il dépensa la plupart de son règne en essayant divorcer sa femme, Thiberge de Bourgogne, et quand il succéda finalement en achever ça, il mourut en retournant de Rome en 869. Parce qu’il n’eut pas d’enfants avec Thiberge (ses seule garçons, avec sa deuxième femme Waldrade, réputèrent bâtards), ses oncles, Charles le Chauve et Louis le Germanique divisèrent son royaume en 870. Le Traité de Meersen de 870 plaça Alsace dans la Francie Orientale et le plupart de Lorraine dans la Francie Occidentale. En 921, la Francie Occidentale donna Henri l’Oiseleur l’indépendance de son royaume et le Saint Empire Romain Germanique fut formellement créé. En 959, Duc Brunon divisa Lotharingie entre Haute-Lotharingie (Lorraine) et Basse-Lotharingie (Lothier). À ce moment, Lorraine déjà eut un duc, Duc Frédéric de Bar ou d’Ardennes ; par conséquent, le duché de Lorraine maintenant consista de Lorraine et Bar. En 1047, Duc Adalbert de Bouzonville établit une dynastie qui dura jusqu’à 1453.

En Alsace, Frédéric II décréta deux Pragmatiques Sanctions en 1220 et en 1232 qui concédèrent le droit de régner aux évêques et grands. Ces Sanctions rendirent possible le développement de la cité indépendant. Vers le troisième quartier du 15e centième, Alsace, comme Lorraine, sépara entre deux parties : Sundgau (Haute-Alsace), dans le sud, et Nordgau (Basse-Alsace), dans le nord. Une branche cadette de la Maison Habsbourg réglera Sundgau, mais Nordgau fut dépendant sur le diocèse du Strasbourg. Il y eut aussi onze villes indépendantes ou libres, desquelles dix formèrent la Décapole, une ligue fonda en 1354 pour favoriser la coopération militaire et économique entre les villes. Les villes qui comportèrent l’alliance furent Haguenau, Colmar, Wissembourg, Turckheim, Obernai, Kaysersberg, Rosheim, Munster, Sélestat, et Mulhouse ; Haguenau fut la préfecture (appelle « Landvogtei ») de la ligue. En 1515, Mulhouse quitta la ligue pour joindre les cantons suisses et Landau prit sa place. Les villes de la Décapole purent faire appel contre leur préfet dans la Diète d’Empire. L’alsace ne fut pas vraiment une entité unifie ; il y eut aussi cinq comtés, 22 seigneuries, quelques fiefs, et plus de deux cents châteaux féodaux.

L’époque de Charles le Téméraire

Le rôle des villes libres devint important en Lorraine aussi pendant ce temps. Duc Ferry III, par contrôler les évêques et les grands, encouragea la création des Chartes communes, qui basèrent sur Beaumont-en-Argonne. Par conséquent, il engrangea le soutien du Tiers État et supplia un sens de nationalisme pour les paysans. Pourtant la vie paysanne fut très difficile et pauvre, et en 1358 Jacques Bonhomme commanda une révolte contre les grands et razzia leurs châteaux. L’aggravation ne dura que quelques semaines, et on voit que les Chartes n’abolirent pas la hiérarchie de la société. Dans ce temps, la France et l’Angleterre se furent battues en la guerre de Cent Ans et Lorraine a une partie intéressant dans ce conflit. Jeanne d’Arc, libératrice célèbre, naquit en Lorraine en 1410. En plus, dès qu’elle visita l’église de St. Nicolas du Port en Nancy, Duc Charles I refusa batailler avec lui (par conséquent de son mal santé), mais il lui écouta et il lui donna des chevaux et d’argent pour aider achever sa mission.

Après le mort de Charles, sa fille Isabelle assuma son trône ; 83 grands lui donnèrent leurs approbations (d’ascension) et lui déclarèrent une « dame et souveraine » – une chose assez progressive. Son mari fut René d’Anjou, qui posséda la Duché de Bar, et leur mariage termina plusieurs conflits entre les deux duchés (Lorraine et Bar) ; en plus, les grands de Bar acceptèrent Isabelle comme une souveraine.

L’un des premiers choses qui firent les nouveaux souverains fut avalisé les Chartes de toutes les villes ; ça créa un précédent pour les successifs souverains de Lorraine. Antoine de Vaudémont, cousin d’Isabelle, contesta son pouvoir et enrôla l’aide de Charles de Bourgogne (dit Charles le Téméraire, image au-dessous). Isabelle, à sa tour, appela Charles VII de France pour lui aider. Les deux armées rencontrèrent à Bulgnéville ou l’artillerie bourgogne tua trois milles troupes lorraines et la force bourgogne captura René. Sigismond, Empereur des Romains, confirma la validité de souveraineté d’Isabelle en avril 1434, et Charles VII amena ses troupes à Metz, mais sans beaucoup d’effet. Les discussions continuèrent jusqu’au mariage de Yolande, fille de René et Isabelle, et Frédéric, fils d’Antoine. Antoine libéra René six ans après sa capture, mais René laissa la gouvernance de Lorraine à sa femme et se fut concentré au Naples et le patronage des artistes en Provence. Isabelle et Antoine enfantèrent une autre fille, Marguerite, qui devina la femme d’ Henri VI d’Angleterre.

Quand Isabelle mourut en 1453, son fils, John II, devina le souverain jusqu’à 1453 ; il fut aussi le Roi de Naples. Son fils, Nicolas I, mourut en 1473, trois années après le mort de son père, et Yolande, avec son fils René II, courut à Nancy pour affirmer sa succession au duché. Les grands lui acceptèrent et elle abdiqua sa souveraineté à son fils René II. Par conséquent, il unifia les duchés de Lorraine, Bar, et Vaudémont, mais sa position ne fut pas assurée. Beaucoup des vassaux admirèrent Charles de Bourgogne pour sa résistance contre Frédéric III, Empereur des Romains, et Louis XI, Roi de France, et ils favorisèrent une alliance entre Charles et René.

L’alliance chargea Charles avec la protection de Lorraine, avec la liberté de marcher ses forces entre le duché. À son tour, René dut désigner les officiels qui obligèrent à Charles, et dans les cas des hauts positions, qui furent libérés de ses obligations de René s’il coupa le contrat. 73 grands et Yolande acceptèrent l’accord le 18 novembre 1473.

Les relations entre Charles et René déclinèrent après cet accord. Quand René fut un jeune homme, il fut attiré à Charles comme un jeune homme a attiré à un home plus âgé. Mais les années passèrent, et l’urgence exorbitante de Charles, avec son agression augmentative, ennuya René plus en plus. Dans certaines villes, les garnisons Bourgogne replacèrent les garnisons Lorrains. Ainsi, René coupa l’accord et rejoindra la Ligue de Constance le 18 avril 1475. Cette ligue nous donne l’occasion de retourner à Alsace.

Frédéric III, Empereur des Romains, et son cousin Archiduc Sigismond (image au-dessous) possédèrent les territoires Habsbourg en Alsace et l’entier du Sundgau, avec Innsbruck pour la capitale. Partiellement en conséquence de la grosse fragmentation de ses possessions, Sigismond eut beaucoup des troubles et des problèmes. Les Suisses constamment battirent avec lui et il voulut acheter la paix avec eux. Il y eut un grand problème : il n’y eut pas d’argent et il fut profondément endetté. Il attira quatre personnes pour lui aider : Frédéric III, son cousin, Maximilien, fils de Frédéric, Louis XI, Roi de France, et Charles de Bourgogne. Frédéric et Maximilien ne purent pas aider son parent. Louis eut peur des Suisses et déclina de donner d’aide. Charles accepta l’offre, mais avec quelques conditions. Charles donna dix milles florins immédiatement et quarante milles florins en plus avant 24 septembre 1469. Sigismond céda tous ses droits seigneuriaux à Charles, mais il eût pu acheter les nouvelles possessions de Charles s’il avait obtenu une somme suffisant d’argent (mais il dut présenter la somme compte). Avec l’argent de Charles, Sigismond négocia une paix avec les Suisses, mais Charles eut un surpris qui attendit pour lui.

Charles envoya deux de ses financiers, Jean Poinsot et Jean Pellet, au nouveau territoire pour examiner les propriétés qu’il acheta. Ils ne portèrent pas des bonnes nouvelles ; la plupart du territoire furent fragmentés et pauvres. Il y eut beaucoup des petits états libres qui furent réglés par les évêques, les abbés, et les comptes palatins, avec quelques cités indépendantes. Son gouverneur, Peter d’Hagenbach, essaiera instaurer les règles de Charles sur les territoires, particulièrement sur Mulhouse indépendant. C’est lui qui nous donne l’occasion de retourner à Lorraine et fait un lien entre Alsace et Lorraine.

Les actions expansionnistes de Charles alarmèrent les villes et les états de la Ligue Basse (« Lower Union »), et ils formèrent une autre alliance, la Ligue de Constance, avec les états de la Ligue Haute (« Upper Union »), et c’est cette Ligue qui René II rejoindra en avril 1475. Quand les villes Alsaciens revotèrent contre leur gouverneur Hagenbach en avril 1474, la Ligue de Constance utilisa l’opportunité de déclarer une guerre contre la Bourgogne. René, à son tour, envoya un héraut à Charles, qui lui donne la lettre avec la déclaration du guerre, et, dramatiquement, jeta sur terre un gantelet tacha avec sang. Charles, fiérot comme toujours, répondit qu’il sera dans le territoire de héraut en un rien de temps et dit qu’il fut comblé. René compta à Louis XI de France pour lui aider, mais Louis, en négligeant complètement tous les besoins et intérêts de René, fit paix avec le Bourgogne pour neuf années suivantes et ne supplia pas les troupes. Quoique Strasbourg et quelques autres villes de la Ligue de Constance donnassent l’aide, René ne put pas arrêter Charles quand il entra Nancy en 1475.

Quand il arriva à Nancy, Charles reçut d’hommages comme un duc souverain, mais il joua un rôle de conquérant miséricordieux – il ne permit pas des cruautés et il pratiqua une politique diplomatique et conciliatoire. En décembre de la même année, il convoqua les États de Lorraine, et en lui adressant comme ses sujets, promit qu’il serait un gouverneur juste et présenta ses intentions concernant la création de son « Royaume Moyenne » avec Nancy pour la capitale. Frédéric III, Empereur des Romains, s’accorda avec les plans de Charles, et il sembla que René fut impuissant. Le onze janvier 1476, Charles quitta Nancy avec intentions de punir les Suisses et leurs alliés. Quand il retourna, il ne trouva pas la même ville qu’il quitta.

Quand la Ligue de Constance déclara la guerre contre Charles, il fit des alliances avec Milan et Les États de Savoie pour s’aider. Ce plan ne marcha pas bien parce que les Suisses de Berne conquirent Vaud et bloquèrent les armées Milanais et Savoie. Charles, confiant dans la supériorité de son armé (bien que l’armé fut dépassé) décida de battre contre les suisses. Ce fut le début de sa fin. Charles marcha avec ses troupes à Granson, où ils vainquissent et pendirent la garnison suisse après sa capitulation. Charles continua au château de Vaux-Marcus par un chemin montagneux, et le 2 mars 1476 son armée fut embuscade par les forces suisses. Après trois heures de combats, les renforcements suisses arrivèrent avec les mugissements, et les troupes de Charles, en ne comprenant pas les raisons par le recueillement d’eux, paniquèrent et firent terrorisées. Les Suisses descendirent sur le camp abandonné et trouvèrent un riche butin, avec beaucoup de fusils (400 pièces d’artillerie) et armes enrichies de joyaux.

Cependant, l’Archiduc Sigismond et ses amis rallièrent et amassèrent un somme d’argent suffisamment pour acheter tous les territoires qui Sigismond céda à Charles en 1469, mais Charles refusa l’argent, en exaspérant les Alsaciens en plus.

Charles, qui perdit seulement 300 victimes dans la batille de Grandson, voulut venger la victoire des Suisses. Il rallia et réorganisa ses troupes, complémentées par les arbalétriers italiens, les archers anglais, et les piquiers flamands, près de Lausanne. L’armée avança en direction de Berne, et après quelques jours, arriva à Morat, qui fut défendu par on garnison de 1500 hommes approximativement. Elle assiégea la ville, construit des palissades (qui s’appelèrent le Grünhag), et prépara pour la bataille. Le 18 juin, après plusieurs bombardements artilleurs qui percèrent les remparts, les troupes attaquèrent la ville de Morat, mais la garnison de la ville repoussa les Bourguignons après plus de huit heures des combats. Pour l’affrontement final, la Ligue, avec l’aide de la Diète, ramassa une armée colossal qui fut comporté de cinq parties. Notre duc René II de Lorraine amena trois cents troupes et commanda la cavalerie, et beaucoup des Alsaciens vinrent pour défendre l’Archiduc Sigismond. Il y eut aussi l’Argovien Hans de Hallwyl, qui commanda les Oberlands et Fribourgeois, le Zurichois Hans Waldmann, qui dirigea le corps central, et le Lucernois Gaspard de Hertenstein, qui commanda l’arrière-garde. Les Confédérés, le nom donna aux troupes alliées, procédèrent furtivement par la forêt Birchenwald (forêt de bouleau) et attaquèrent devant le camp de Charles le 22 juin 1476. Ils surprirent les Bourguignons, qui mangèrent ou exercèrent (on ne peut pas vérifier le fait) et ne furent pas prêts pour l’attaque. Aux mêmes temps, les troupes bourgognes furent dispersées et se déployèrent peu à peu. Les Suisses, avec leurs forces massifs, démontèrent le Grünhag rapidement et repoussèrent les petits charges des bourguignons. Sans beaucoup de temps, les Bourguignons furent encerclés par trois côtés, avec le lac derrière d’eux. Les Suisses ne donnèrent pas de quartier et Charles perdit une troisième de son armée avec plus de 400 pièces d’artillerie. Il échappa à Morges et à Pontarlier après. Il eut seulement une base à Pont-à-Mousson, et sa capitale futur fut en danger d’être perdu.

Encouragea par son succès à Morat et le défait de Charles, René retourna à Nancy, et malgré la défection de Louis XI mais sûr de l’assistance des alliées de la Ligue de Constance, il rallia ses citoyens et sujets et reprit Nancy. Un héritage opportun lui donna l’occasion de payer ses troupes ; le Diète Suisse approuva une alliance plus serrée avec lui, et le Roi de France fit deux choses aussi. Il déclara que l’armée française serait en Dauphiné pour aider ajuster les affaires de la Maison de Savoie et il fut gracieux à une ambassade suisse en France.

Charles arrivera à Nancy le 22 octobre 1477, moins de deux années après son départ, trouva les portes fermées, et assiégea la ville. Quelques alliés italiens de lui abandonnèrent leurs allégeances à lui à ce moment, et tous les deux Nancy et Charles affrontèrent des épreuves ; Charles perdit beaucoup des troupes à cause de froid de l’hiver et les gens de Nancy n’eurent pas beaucoup des provisions. Finalement, le 5 janvier 1477, René arriva pour sauver la ville. Contre des recommandations, Charles décida d’attaquer la ville. Les forces Suisses, qui marchèrent pour une semaine au travers d’Alsace à partir de Bâle, arrivèrent à ce moment, et les troupes de Charles furent complètement détruites par les forces de René et les troupes Suisses. Charles lui-même meurt dans les combats, et les gouvernements de Lorraine et Alsace furent restaurés.

René, qui révéra l’ancien duc, lui donna un funéraire honorable ; son corps, qui fut trouvé gelée dans un bassin près du champ de bataille, fut placé arrière le haut autel dans l’église de Saint Georges pour cinq jours. Une procession des grands de Lorraine conduisit par le duc René suivit le cercueil de Charles à sa place d’enterrement. Le duché de Lorraine fut restauré, une duché plus cordonné avec les intérêts français.

René II régna pour les suivantes 30 années, et il espéra de conquérir les fragments de la Bourgogne, mais il ne succéda pas parce qu’il n’eut ni compétence (militaire) ni forces avec qui il aurait accompli ses buts. Plutôt, Louis XI (de France, à droite) prit la plupart de l’ancien royaume, et presque saisit quelques territoires de René en sa quête atteindre ses bordures « naturels » – c’est-à-dire, le Rhin. La Franche-Comté resta dans le Saint Empire romain germanique. A la Diète de Worms en 1496, René rendit hommage à Maximilien Ier, Roi des Romains, mais refusa de donner le serment jurèrent par les princes germaniques.

L’époque de Renaissance en Lorraine

René dirigea ses efforts à la réputation de Lorraine par avoir patronné des œuvres et les intellectuels de la Renaissance, qui vinrent de la France et d’Allemagne (Saint Empire). Alsace, aussi, fut un havre pour les pensées progressives, et les premières imprimeries furent installées à Strasbourg en Alsace et à Saint-Dié-des-Vosges (ou simplement Saint-Dié) en Lorraine. Saint-Dié fut le siège d’un monastère fonda par Deodat dans le septième siècle ; elle bénéficia une immédiate à l’Empereur (des Romains) et le Pape et fut libre des règles du Duc, mais René II offrit des « relations aimables » avec les bénéfices pratiques. Les scientifiques (humanistes) s’associèrent dans une guilde qui s’appela « Gymnasium Vogense » avec Walter Ludd, secrétaire de René, pour le président (« le génie dirigeant »), qui put trouver les fonds pour financer la publication d’œuvres. Quelques hommes renommés de cette région sont Matthias Ringmann, Martin Waldseemüller, et Joh. Basius Sendcurius (on ne trouve aucunes informations de cette personne). Waldseemüller fut le plus notable de trois ; il fut un clerc du diocèse, un imprimeur, et théologien, et il assuma la poste de Chanoine de Saint-Dié jusqu’à sa mort en 1552.

Avant la publication des atlas de Waldseemüller, Ptolémée fut la source primaire pour les publications et compilations géographiques et personne ne voulut risquer émerger de son ombrelle. La dernière édition comme ça fut publié en 1478. En 1507, Waldseemüller, avec Ringmann, publia un globe du monde et une mappemonde, qui furent accompagnés avec une livre qui s’appela « Cosmographiae Introductio » (Introduction de Cosmographie). Le livre contenu traduction en latin de la « Lettera » (des « quatre voyages ») d’Amerigo Vespucci (à droite), navigateur italien, avec Ringmann traduisant et Sendacurius écrivant la poésie. Ce livre aussi introduit le premier temps quand le mot « America » fut utilisé ; Waldseemüller l’utilisa pour désigner le nouveau continent à qui Amerigo voyagea, avec la forme féminine de son prénom, comme Europe et Asie. On inclut une copie de cette carte avec ce rapport, grâce à la Bibliothèque du Congrès, après (derrière) ce page. Au moment de publication, Waldseemüller ne connaît pas les voyages de Christophe Colomb. En 1513, il publia une édition révisée à Strasbourg ; cette œuvre fut une adaptation d’atlas Ptolémaïs, et il enleva le nom d’Amérique et le remplaça avec « Terra Incognita ». Cette œuvre contint aussi vingt cartes nouvelles, avec vingt-sept vieilles cartes ; le territoire d’Allemagne (ou Saint Empire) fut complètement son travail, et il y eut une fiche complètement dévouée à Lorraine. Mais le nom d’ « America » fut déjà planté, parce que plus de 1000 copies de « Cosmographiae » furent distribués. Les atlas de Waldseemüller placèrent l’Allemagne sur la carte pour la première fois, et furent les premières étapes à la reformation cartographique de Gerardus Mercator et Abraham Ortelius dans les années 1569-1570. René stimula aussi la peinture et plaça Lorraine hautement parmi les petits états cultivés ; il nourrit les poètes aussi, qui écrivirent la poésie latine à Saint-Dié. Politiquement, René II unifia les duchés de Lorraine, Bar, et Vaudémont, prit plus de contrôle aux villes libres, et convertit les diocèses dans les domaines de la Maison de Lorraine au cause des liens de familles des ducs et évêques. Quand il mourut en 1508, il divisa ses territoires entre ses cinq fils ; Antoine, fils aîné, reçut Lorraine, Bar, et Vaudémont, avec une instruction explicite de garder ces territoires ensemble. Claude reçut la Comté de Guise, qu’il tourna en un duché. Claude devint un citoyen français naturalisé, maria Antoinette de Bourbon, et engendra dix enfants – deux cardinaux, un Duc de Guise, un Duc d’Aumale, et une fille qui maria Jacques V d’Écosse et enfanta Marie Ire d’Écosse (aussi Marie Stuart et Marie, reine d’Écossais) en 1542.

La fin de 16e siècle

Antoine grandit dans le court de noblesse de Louis XI de France. Il est important pour deux raisons : il supprima une insurrection paysanne et il fléchit ses muscles diplomatiques dans le Saint Empire. L’insurrection des Rustauds en Alsace en 1525 répandit à Lorraine, à quel temps Antoine supprima la mutinerie et obtint le renom pour ses actions.

Ses actions diplomatiques avec le Saint Empire furent amusantes et intéressantes. Il envoya un représentant à la Convention de Nuremberg le 26 août 1542, une conférence formel entre les états d’Empire et Ferdinand Ier, Roi des Romains. Le représentant désavoua ses obligations féodales, avoir déclaré que Lorraine fut un état libre et indépendant. Il dira aussi que Lorraine eut de la rancune contre les juges Court Impérial (« Reichskammergericht ») au cause de ses actions contre Antoine et ses sujets par les « appellations » et les « mandements ». À la fin de la Convention, Lorraine dut payer seulement 2/3 des taxes d’un prince-électeur régulier et l’indépendance du duché fut mentionnée trois fois dans l’agrément. Charles V, Empereur des Romains (à droite), confirma l’agrément, à Spire le 28 juillet 1543 ; la Chambre Impériale de Spire le ratifia le 29 août 1561 ; et finalement, Rodolphe II, Empereur des Romains, renoua et confirma l’agrément en Prague le 2 janvier 1603. Une petite note : l’agrément eut une provision pour la défense de Lorraine par le Saint Empire, mais les ducs de Lorraine ne reçurent jamais l’aide d’Empereur, ni avant ce Convention, ni après. Chaque fois, ce fut un autre pays qui protégea Lorraine.

Cependant, Antoine dut piétiner attentivement – ses frères furent français, mais sa bru fut la nièce de l’Empereur des Romains – et ses intérêts furent divisés. Il mourut en 1544, et son fils, François Ier, mourut l’année suivant en avoir négocié une traité avec l’Empereur Rodolphe et François Ier de France. Sa veuve, Christine, nièce d’Empereur, ne fut pas eu confiance avec Charles II, son fils, et sa garde fut transférée à son oncle, l’évêque de Metz, qui fut allié avec la France. C’est probablement pourquoi Henri II de France n’eut pas beaucoup d’obstacles en avoir capturer les villes de Metz, Toul, et Verdun en 1552 sans combats.

Metz, à ce temps, fut vraiment une ville indépendante et libre ; elle refusa supporter les guerres et conflits « inintéressants » et questionna les ordres de Pape, inclus une bulle que « ne semble point être raisonnable, ne fondée en équité ». Dans les 15e et 16e siècles, des magistrats qui furent élus librement gouvernèrent la ville, contrôlèrent les troupes, reçurent les ambassades, et firent les traités avec autres ducs, comtes, et rois. Quand les Empereurs visitèrent la ville, la ville décida qui purent entrer et combien des personnes purent entrer aussi. Dans les années 1550, la ville fut partiellement divisée entre les Catholiques et les Protestants, et l’évêque s’aligna avec Henry II de France pour les avances personnelles. Avec un groupe de conspirateurs, il dupa les citoyens de la ville que Henri fut seulement traversé la ville, et un coup d’état calme survint. Le Reichstag alla de l’autonomie à la subordination. Toul, aussi, fut pris facilement, mais Strasbourg, sauf le reste d’Alsace, tint ferme et se maintint libre et indépendant. Le jeune duc de Lorraine, Charles II, fut pris à Paris pour être neutralisé et naturalisé.

Charles V, Empereur des Romain, ne fut pas d’accord avec ce déroulement d’événements. Également, il assiégea Metz avec 60 milles de troupes flamandes, allemandes, et italiennes, avec soi-même et sa sœur Marie de Hongrie (régente des Pays-Bas) dans le champ de bataille en octobre 1552. Les mauvais temps et le succès de François de Lorraine, Duc de Guise forcèrent Charles de s’éloigner ses troupes en janvier 1553, avec seulement 12 milles de tropes restants. Ce défait fut un des plusieurs éléments qui causa Charles à abdiquer son trône en 1556. Son frère, Ferdinand Ier, devint l’Empereur en 1556 et tenta, faiblement, de recouvrer ses territoires, mais toutes les ambassades, négociations, et appellations à la Diète ne fit aucune chose.

Mais les ducs de Lorraine furent assez contents, parce qu’ils furent alliés avec France et les villes de Metz, Toul, et Verdun devint des villes françaises provinciales. Les cardinaux de Lorraine firent un mariage entre Charles II et Claude, fille d’Henri II de France (à droite), et lui élevèrent comme un propre français. Les résultats furent évidents ; Charles fut un catholique ardent, et il ouvrit une université jésuite à Pont-à-Mousson en 1573. L’université eut 1500 étudiants en 1603. Il unifia et codifia le système judiciaire du duché, et il obtint le droit de forger les monnaies avec quelques autres privilèges royaux dans ses fiefs français. Il réforma le calendrier de façon à que chaque année commencer après 31 décembre par un ordonnance du 15 novembre 1579, et il sanctionna l’adoption calendrier grégorien en 1582. Mais quand il essaya de devenir un souverain absolutiste, comme les rois français, il ne succéda pas, parce que les grands de Lorraine lui dit un « non » fermement. Charles II mourut en 1608.

La Guerre De Trente Ans

Dès que le temps de la Réformation dans le 16e siècle, Strasbourg était une communauté prospère, et ses habitants ont accepté le Protestantisme à une date première en 1523. Le réformateur Martin Bucer était un éminent réformateur protestant dans la région. Ses efforts ont été contrariés par le Habsbourgs catholique romain qui a essayé d’éliminer l’hérésie dans Alsace Supérieure. Par conséquent, l’Alsace a été transformée dans une mosaïque de territoires Catholiques et Protestants. Entre 1618 et 1648, l’Alsace devient un champ de bataille pour les armées de la Guerre de Trente Ans. Les soldats fouillent des villages et abattent leurs habitants. La région perd plus que la moitié sa population. Ces morts sont arrivées principalement dans le paysage pendant que les autres se sont sauvés du secteur guerre.

Voici un résumé rapide de pourquoi la guerre s’est cassée hors en premier lieu. La Guerre de Trente Ans était un conflit combattu entre les années 1618 et 1648, principalement dans le territoire d’Europe centrale dans l’Empire Allemand, mais impliquant aussi la plupart des pouvoirs continentaux majeurs. Il est arrivé pour plusieurs raisons. Bien que c’était de son début un conflit religieux entre protestants et catholiques, le pouvoir de la dynastie de Habsbourg était aussi un motif central.La guerre est plus simple si vous le mettre dans quatre étapes comme suit : La révolte bohème, L’intervention danoise, L’intervention suédoise, et alors l’intervention française. Au début une guerre de religion, quand les années ont passé et les étapes ont changé, c’était la religion apparente jouée de moins en moins un rôle dans les alliances qu’un pays faisait.A un point, une France catholique a été alliée à une Suède protestante!

Le Roi de Suède, Gustav, après avoir gagné une victoire à Breitenfeld en 1631

Dans 1632 Pendant la Guerre de Trente Ans, Duc Charles IV a été forcé de céder une bonne partie de Lorraine, sauf Nancy, au Roi Louis XIII français. La mosaïque de religions différentes dans Alsace et Lorraine a prévalu jusqu’à 1639 quand la plupart d’Alsace a été conquise par France pour empêcher l’appartiennent du territoire par les Habsbourgs espagnol qui a voulu une route claire à leurs possessions valables et rebelles dans la Hollande. Alors, dans 1646, assaillir par les ennemis et avec d’autres problèmes dans Hongrie, les Habsbourgs a vendu leur territoire de Sundgau en France pour la somme de 1,2 millions de thalers. Dans 1648, l’Alsace, se brise dans beaucoup de territoires des plusieurs rois, devient français par le Traité de Westphalie. Quelques villes sont restées indépendantes avec les loyautés à un certain pays incertain.

Cependant, l’Alsace garde beaucoup de particularités dans ses institutions et dans ses traditions. La révocation du Décret de Nantes n’a pas été appliquée et l’usage de la langue française n’a pas été fait obligatoire, même si Allemand était la langue écrite normale de la plupart des Alsaciens. Cependant le français devient la langue officielle, et la religion catholique devient la seule religion reconnue, mais catholiques prédominants cohabitent avec luthérien ou Protestants réformés, tous ayant leurs paroisses. Les détails de traités en ce qui concerne Alsace étaient très confondus et il est pensé que ceci a été exprès fait exprès pour que ni le roi français ou l’Empereur allemand pourrait gagner le contrôle tendu, mais que l’un jouerait de l’autre, assurant de cette façon que Alsace a eue quelque mesure d’autonomie.

Après 1648 et jusqu’ au mi du 18e siècle, beaucoup des immigrants sont arrivés de Suisse, Allemagne, Autriche, Lorraine, Savoie et les autres secteurs. Entre 1671-1711 les réfugiés d’anabaptiste est venu de Suisse, notamment de Berne. Strasbourg est devenue un centre principal du mouvement d’anabaptiste.

Le Combat de Lens en 1648 a solidifié une victoire française
La vue générale de La Paix de Westphalie en 1648

La guerre française contre Espagne a continué jusqu’à 1659, quand le Traité des Pyrénées a attribué la partie de la Hollande espagnole (Belgique aujourd’hui) et quelque territoire dans le Nord D’Espagne à France. Aussi, le roi Philip IV d’Espagne a accepté le mariage de sa fille Maria Teresa au Roi Louis XIV de France. Ensemble, la Paix de Westphalie et le Traité des Pyrénées a établi France le pouvoir prédominant sur le continent européen.

Le Roi Philip IV	Maria Teresa

La Règne de Louis XIV dans le 17e Siècle

Un vue plus général de ce qu’allait dans Europe entre 1659-1715 va comme suit. Le 17e siècle est noté pour être une période d’extravagance et du pouvoir pour la monarchie française. Le roi Louis XIII et Richelieu Cardinal ont transformé la monarchie de France féodale à une monarchie absolue. Louis XIV, cependant, est le roi français le plus associé à cette période. Aussi connu comme le Roi de Soleil, Louis a fortifié son propre pouvoir en gardant tous les princes et les seigneurs locaux a occupé avec la vie de tribunal soignée à son palais à Versailles. Ce foyer sur la vie de tribunal a gardé les princes et les seigneurs locaux de fixer sur essayer de miner le pouvoir de Louis. Cette période est aussi connue pour le génie des écrivains, les architectes et les musiciens qui ont été promus par le tribunal royal.Malheureusement, l’extravagance de Louis, particulièrement ces guerres interminables, coûtait cher, et partirait une bonne partie de France dans le péril financier jusqu’à la fin de son règne. Ses quatre guerres étaient dans 1667-1668 contre l’Alliance Triple, la Guerre hollandaise de 1662-1668, la Guerre de la Ligue d’Augsbourg de 1689-1697, et la Guerre de la Succession espagnole de 1702-1713. Pendant cette période entière, le reste d’Europe se méfiait d’expansion française. Louis a révoqué aussi le Décret de Nantes en 1685. Louis XIV est mort dans 1715 et Louis XV a supposé le trône. La Bourgeoisie a commencé à exiger plus des droits politiques, et ceci viendrait poser un grand problème pour les successeurs de Louis XIV.

Le contrôle français en Alsace et Lorraine après les Guerre de Louis XIV

La prise de pouvoir de France dans Alsace et Lorraine entre 1659 et 1679 est limitée et les rois français ont voulu plus de pouvoir dans ces deux régions. Dans 1670, le Duché est envahi par les troupes françaises. Dans 1679 Après le Traité de Nimègue, Louis XIV de France a exigé des termes en échange de reconnaître Charles V comme Duc de Lorraine. Louis a commencé d’incorporer dix villes dans France et supposer le contrôle de Lorraine, mais Duc Charles est restées dans l’exil dans Autriche avec sa femme autrichienne. Ceci a mené la France capable de consolidant sa prise sur les régions et dans 1681 elle a occupé Strasbourg dans une action militaire. La capitulation de Strasbourg arrive dans 1681 et la ville devient une partie de France, mais ses privilèges dans l’administration locale et dans les questions de religion sont conservés. Ces changements territoriaux ont été renforcés à la 1691 Paix de Ryswick, qui a terminé la Guerre de la Ligue d’Augsbourg, bien que l’Empire romain Saint n’a pas accepté et a signé le document jusqu’ à 1697. Après le Traité de Ryswick, Duc Léopold a compromis avec Louis XIV. Il a tenu le titre de Duc, mais beaucoup de son autorité était rendue; Léopold était allemand Autrichien. Ainsi que l’Alsace est devenu dans l’orbite de France. Le Décret de Nantes en 1685, promulgué avant l’annexion d’Alsace, ne pourrait pas être révoqué; donc le choix religieux resté libre.

Louis IV	Claude de Lorraine, aussi connu comme Duc de Lorraine

Une Période de Paix : Le 18e Siècle

Pendant le 18e siècle, Alsace et Lorraine n’ont pas traversé beaucoup de changement et n’ont pas changé aussi les frontières de pays. A travers la France, l’histoire a semblé ralentir aussi, attend que la révolution de 1789 arriver. Pendant le 18e siècle, la majorité de la population de France a été formée de paysans, qui ont été fâché par les privilèges appréciés par les nobles et le clergé. En plus, la croissance de nouvelles idées pendant la 18e éclaircissement former par les penseurs comme Voltaire et Rousseau qui commencent à questionner les principes du vieux régime et le vieil absolutisme. Ces penseurs ont parlé d’une société libérale qui a apprécié le commerce libre. Ils ont défendu aussi des droits égaux et l’abolition du système de classes. La notion de révolution était plus encouragée par les Français qui avaient été exposés aux idées de la Guerre d’indépendance américaine.

Dans 1738 Après le Traité de Vienne, Duc Franz, qui avait épousé Maria Teresa, une Habsbourg, Lorraine a été céder à Louis XV en échange pour Toscane; Stanislas, un Roi déposé de Pologne, a été nommé Duc nominal pour la vie. Dans 1766, à la mort de Stanislas Leszczynski, le père de la femme de Louis XV, Lorraine devient une partie de France. Trois territoires qui sont habités par les familles allemandes deviennent des enclaves étrangères: l’abbaye de Senones qui appartient aux Princes de Salm, le Comté de Dabo qui appartient à la famille de Leiningen, et Drulingen qui appartient aux Comptes de Nassau-Sarrebrück.

 L’abbaye de Senones

Le règne long de Louis XV, qui a duré presque soixante années, s’est élevé souvent contradictoire et des interprétations parfois étonnantes. Presque rien est connu de la personnalité du monarque, et par conséquent il a été vu par les lunettes de variantes couleurs. Quelque chose qui est connu, cependant, est que l’homme a fait petit pour abaisser l’agitation que les gens a eue pour le gouvernement apathique. Les gens mouraient de faim quand les riches s’est enrichis. Le règne de Louis XVI, qui est décapité plus tard par les gens de France, était très similaire de son père à ceci que rien a été fait pour améliorer la situation grave.

La Révolution française

Dans 1789 la crise a explosé. Sur juillet 14e, une foule parisienne est révoltée et a pris la prison de Bastille, qui a été vue comme un symbole d’oppression politique. La révolution française avait commencé. Sur le 26 août, 1789 les révolutionnaires a distribué la Déclaration des Droits d’Homme qui a incorporé les principes de Liberté, Egalité, et Fraternité, et a été signifié pour terminer le système de classes. Pendant la Révolution, Louis XVI a été guillotine, avec beaucoup de modère et des radicaux, à Place de la Révolution (maintenant Place de la Concorde). Robespierre et son Comité de Sûreté Publique a provoqué le Règne de Terreur en France.Ce comité a été signifié pour débarrasser France de toutes les personnes qui ont été contre le nouveau gouvernement. Mais le comite a pris une mauvaise décision quand des milliers de gens a été tués. Cette étape de la révolution, connue comme l’étape radicale, terminée dans la guillotine de Robespierre en 1794.

L’année 1789 a amené la révolution française et avec cela la première division d’Alsace dans les départements de Haut- et Bas-rhin. Pendant la Révolution française, sur juillet 21e 1789 quand les gens entendent parler de la chute du Bastille, l’hôtel de ville de Strasbourg est fouillé. La Révolution met Alsace sous les lois pareilles comme le reste de France, renversant des habitudes et des mentalités. Beaucoup des habitants du Sundgau ont fait des pèlerinages aux endroits comme Mariastein, près de Bâle, dans Suisse, pour les baptêmes et les noces. Dans 1793 des propriétés et les fiefs Féodaux ont été incorporés dans la République française; les départements nommés de Meurthe, Meuse, Vosges et Moselle (a inclus Lorraine allemand et Paie Messin). Dans 1795 après l’Acte de l’Assemblée de France, le féodalisme était aboli et la France a gagné plus de contrôle.

   Le Bastille

Pendant la dernière décennie du 18e siècle, beaucoup d’Alsaciens étaient dans l’opposition aux jacobins et sympathisaient aux forces envahisses d’Autriche et à Prusse qui a cherché d’écraser la république révolutionnaire naissante. Quand l’Armée Révolutionnaire française des Rhin était victorieuse, dizaines de milliers ont fui l’est avant de l’armée. Quand ils seront permis de se retourner, et quelques-uns ne reviendront pas jusqu’ à 1799, c’était souvent pour trouver que leurs terres et les maisons avaient été confisqué. Ces conditions ont mené à l’émigration par les centaines de familles aux terres récemment vacantes dans l’Empire russe dans 1803-4 et encore en 1808. Un raconte poignant de ce conte basé sur ce qu’il avait observé peut être trouvé dans Dorothea de und de Hermann du Goethe.

L’age Napoléonien

La Révolution s’est presque finie dans 1799 quand Napoléon Bonaparte est entré Paris et a été couronné le Premier Consul. Dans 1804 il a pris le titre d’empereur Napoléon I. Il a pris la couronne du Pape et l’a placé sur sa tête se, directement défiant dans cette façon l’autorité de l’église. Napoléon a créé une administration centrale puissante, et il était occupé dans beaucoup de campagnes militaires qui lui a permis d’augmenter son empire. Napoléon a été battu dans la Russie dans 1812 et plus tard dans Waterloo en 1815. Le Congrès de Vienne a été alors établi pour décider ce que de faire avec la France guerre déchiré, mais pas avant que Napoléon avait un glorieux cent jours quand il a retourné pour être le dirigeant de France une fois plus. Louis XVIII, qui a été renversé plus tard par Charles X, a remplacé Napoléon.

 Le Bataille de Waterloo

Pendant les guerres Napoléonien, l’Alsace a fourni beaucoup de soldats et de générales comme Kellermann, Kléber, Rapp, et Lefèvre au même que les provisions pour l’armée. En réponse à la restauration de Napoléon, dans 1814 et 1815, les forces étrangères ont occupé Alsace, inclurent par-dessus 280.000 soldats et 90.000 chevaux dans Bas-rhin seul. Ceci avait des effets graves sur le commerce et l’économie de la région puisque les anciennes routes de commerce terrestres ont été changées récemment aux ports méditerranée et aux ports maritimes Atlantiques. L’alsace a attendu l’ascension industrielle pour sortir de la récession environ 1850. Selon la paix accorde dans 1815, Lorraine perd Sarrelouis et Sarrebruck au Prusse.

   Napoléon – Le grand héro français

France 1814-1870

Pendant cette période, la population grandissait rapidement, de 800.000 dans 1814 à 914.000 dans 1830 et du 1,067,000 en 1846. Une combinaison de facteurs a signifié la faim, les manques de logement et un manque de travail pour les jeunes. Ainsi, il n’étonne pas que les gens aient fui, non seulement à Russie, mais aussi profiter d’une nouvelle occasion offerte par l’Empire austro-hongrois. L’empire avait conquis récemment des terres dans l’Est de l’Empire turc et les termes généreux offerts pour les colons afin de consolider leur prise sur les terres. Beaucoup d’Alsaciens ont commencé à naviguer aussi pour Amérique, où après 1807 importation d’esclave avait été interdit de et les nouveaux ouvriers ont été eus besoin de pour les champs de coton.

Beaucoup de recruteurs américains et russes ont travaillé pour les propriétaires de bateau pour les promesses faites, grandioses et fictives aux Alsaciens inquiets.Une fois ils ont consenti et partent furtivement l’Alsace, ils se sont trouvés souvent forcé dans la servitude sous contrat. Ceci était si abusé qu’en 1818 la Louisiane assemblée générale a promulgué la législation qui protégeant les droits des, qui ont mené parfois aux nouvelles tactiques des propriétaires de bateau qui exigent un prix de passage exorbitants. Mais ça n’arrête pas les dizaines de milliers de colons d’émigré à Russie et les Etats-Unis entre 1817 et 1839. La Panique de 1825 peut être cité pour un autre éperon à l’émigration.

Le règne de Charles X a rappelé les gens aussi de l’ancien régime, et ceci a mené à la Révolution de juillet de 1830. La Monarchie de juillet a élu un roi, Louis-Philippe, le Duc d’Orléans. Son règne a duré 18 années, jusqu’à la révolution de 1848 et ça était une période de prospérité. Dans 1848, Louis Napoléon, le neveu de Napoléon, a été élu le premier président de la Deuxième République. Plus tard il a été proclamé l’Empereur Napoléon III en 1852 par un plébiscite national.C’était Napoléon III qui a commandé Baron Haussmann de concevoir le nouveau Paris et a commencé la révolution industrielle française.Pour gagner la même forme de respect que les Français avait eue pour son oncle, Napoléon III a eu besoin d’une guerre, et dans 1870 il a trouvé une excuse pour déclarer la guerre contre Allemagne parce que Guillaume Ier a déshonoré leurs pays.

La Révolution de Juillet 1830 			Napoléon III

Guerre Franco-Prusse

La guerre Franco-Prusse a commencé en 1870. Les Allemands ont capturé Paris et ont réclamé les régions d’Alsace et Lorraine de France.Dans une guerre de seulement sept semaines, le rapide manoeuvre Allemand et leurs systèmes de train extrêmement spécialisés ont assuré une capitulation française rapide. Suivre la défaite, Napoléon III a été exilé. La Troisième République a émergé en France dans 1871, indiquant la fin de monarchie en France. Le développement industriel a continué pendant cette période, et une caméra portative a été inventée.

Dans 1871, après la défaite française, presque tout le département de Moselle et une partie du Meurthe était annexé par Allemagne. Sur le dixième de mai en 1871, le Traité de Francfort a confirmé l’annexion d’Alsace-Lorraine par les Prussiens, et les habitants étaient permis de déclarer s’ils veulent garder leur nationalité française et partent la région avant octobre 31e 1872. Après cette date, ils deviendraient Allemands. A peu près 159.000 habitants d’Alsace-Lorraine a choisi de garder leur nationalité française. Plus que 50.000 d’eux partent leurs amis et leur maison derrière eux. Mais beaucoup d’autres se sont resté et protestés contre leur incorporation à l’Empire allemand sans leur consentement. Dans Metz, vingt pour cent de la population part la ville. C’était après ce traité a été signé que l’expression ‘Alsace-Lorraine’ a été utilisée. Le territoire entier qui est maintenant la région française d’Alsace a été aussi annexée. Comme les gens ont voulu le retour d’Alsace et Lorraine á la France, ceci est devenu le cri raillant principal pour le nationalisme français dans la région et c’était une cause majeure des armements juste avant le Premier Guerre Mondiale.

La carte de victoire allemande dans la Guerre Franco-Prusse: Remarquer les flèches Noires qui représentant l’avance allemande et la contre-attaque de l’armée française confondue dans rose.

Sous l’administration allemande, les deux provinces sont divisées en trois régions: Lorraine, Alsace Supérieure et Abaisse Alsace.Ces régions deviennent les départements de Moselle, de Haut-Rhin et de Bas-rhin quand ils se retournent en France en 1918. L’annexion d’Alsace-Lorraine dans l’empire Allemand n’a pas signifié la fin des lois françaises. La loi locale, à quels Alsaciens sont si consacrés et qui relate aux domaines comme l’immobilier, l’assurance sociale, la religion et l’éducation et chassante, restera dans l’effet après leurs retours en France dans 1918, et même après 1945.

La Première Guerre Mondiale

Les conséquences de la guerre Franco-Prusse étaient que France est devenue suspecte et méfiante des Allemands. Ils se sont assurés qu’ils avaient une grande armée et beaucoup des grandes défenses pour arrêter des invasions. Ceci a aussi gardé les Allemands suspects des intentions français.

Entre 1914 et 1918, la Première Guerre de Monde dévaste les secteurs agricoles autour de Verdun et Pont-à-Mousson, mais les secteurs industriels sont conservés. Les territoires annexés se retournent en France à la fin de la guerre. Aussi pendant la Première Guerre Mondiale, à peu près 250.000 soldats d’Alsace-Lorraine sont mobilisés dans l’armée allemande, mais 17.000 volontaires joignent les troupes françaises et beaucoup de déserteurs les suivent. Après novembre de 1918, le retour d’Alsace-Lorraine a lieu en France avec quelques difficultés. Un de ces difficultés a été l’exclusion d’à peu près 110.000 habitants d’origine allemande partielle, les gaffes de l’administration française qui aggrave les sensations autonomistes. Un transfert similaire est arrivé pendant le conflit de Deuxième Guerre mondiale (1939-45) à la fin dont la région a été encore cédée en France. Toujours aujourd’hui, cependant, deux journaux allemands de langue sont ici publiés. Il y a même toujours parlé un dialecte Allemande (Elsässisch), mais il disparaît.

Le Projet Schlieffen	Mémorial Vis-En-Artois

Une bonne partie de la lutte sur le Devant de l’ouest arrivé dans Alsace et Lorraine pendant le Premier Guerre Mondiale. Le projet allemand, nommé Schlieffen parce que l’homme qui a pensé de l’idée est nommé Schlieffen. L’idée était de sauté la défense française le long des frontières d’Alsace et Lorraine en déplaçant les troupes par Belgique puis capturé Paris et finalement attaqué la Russie. Le grand combat de Verdun dans Alsace avait des grandes conséquences pour les forces Allemands et aussi les Français et Anglais. Le système de tranchée dans ce secteur marquerait la tombe de millions de soldats. Les troupes allemandes en 1916 ont attaqué les lignes alliées en espérant de finalement percer les tranchées et ouvert la guerre. Quand les deux côtés ont été épuisés dix mois plus tard, l’impasse a continué jusqu’ à 1918 quand l’afflux de troupes américaines et la capitulation de Russie a amené un changement dans la stratégie et une retraite Allemande de la région. Un million soldat sur les deux cotés a été tués.

Le Bataille de Verdun	Champ de Bataille en Verdun 
Les Soldats allemands dans Verdun

La Deuxième Guerre Mondiale et les Années Après la Guerre

Alsace-Lorraine deviendrait encore un territoire Allemand en 1940 quand les Allemands ont envahi Paris et ont occupé le nord et les parties d’ouest de France jusqu’ à 1944. Pendant ce temps, le pays a été contrôlé par le gouvernement marionnette de Vichy, mené par Marshal Pétain. Cependant, un mouvement de résistance a été organisé par Charles Général De Gaulle. Plus que 100.000 gens français qui parlent doivent partir. Les Forces Allié ont envahi Normandie le 6 juin, 1944, et De Gaulle est entré Paris comme la tête du nouveau gouvernement de la Quatrième République. Les troupes américaines ont libéré Alsace pour France en Janvier, 1945 et ont été généralement grêlés comme les libérateurs. Finalement Moselle se retourne en France en 1945. Les années après la guerre ont été caractérisées par le consumérisme et les avancements techniques. Dans les 1950 et le 60’s, France Africain et les colonies asiatiques réclamaient leur indépendance, qui a mené aux guerres dans Algérie et Indochine, même que les grèves générales et les révoltes d’étudiant de 1968. L’histoire d’Alsace et Lorraine à cette période est finie et devient la partie d’une France qui fait partie du grand l’union européenne.

Les Troupes américaines libérant Metz

La Géographie et Les Grandes Villes

Géologiquement, Lorraine de l’ouest est composée de vallons d’argile séparés par le nord-sud-les arrête de calcaire des cotes de camp de Meuse et les cotes de camp de Moselle. Les sols lourds des vallons soutiennent l’agriculture mélange; le laitier, l’avoine, et le blé. Les arêtes sont de barrières pour la communication et les invasions. Metz, Nancy, Verdun, Thionville, et Toul sont les routes centrales et les villes de forteresse défendant des écarts dans les arêtes. Le combat pour Verdun était un des plus sanglant de la première guerre mondiale. Nancy, le traditionnel capital et centre d’universités de Lorraine, est localisé sur le canal Rhin-Gâché, qui suit le route de Paris à Strasbourg.

Les champs de minerai en fer en Lorraine, à peu près 110 Km long et 20 Km large, couraient de Nancy au nord au fer primaire et au district d’acier autour de Longuyon, Thionville, et Metz. La partie française du bassin houiller de Saar couche 64 Km à l’est. Il contient des réserves substantielles dans les coutures facilement mécanisées et épaisses.

Metz

Vers le sud-est, Lorraine s’élève graduellement aux sommets du Vosges. Ce massif de grès a un noyau de granit exposé dans le sud, où les élévations dépassent 1.200 m. Le politique et linguistique diviser entre ceux qui parlent français de Lorraine et les autres qui parlent Allemands sont plus nombreux en Alsace. Au pied de la pente d’est escarpée du Vosges est une région de vignoble célèbre. Un secteur attenant de sols fertiles produit des céréales, le fruit, le tabac, et les légumes. Il produit aussi des sauts pour les brasseries Alsacien et Allemandes.

 Les Montagnes de Vosges

Strasbourg, un port majeur sur les Rhin, est la capitale traditionnelle d’Alsace. Ses industries incluent du raffinage de pétrole, brasser, l’impression, le traitement de nourriture, et la métallurgie. Célèbre pour son université et son pâté, Strasbourg est siège principal du Conseil d’Europe. Le canal de Rhin-Rhône connecte Strasbourg avec Mulhouse, le Portail de Bourgogne, et Lyon. Mulhouse, avec une industrie chimique basée sur les dépôts de potasse locaux, et Colmar est le centre de l’industrie textile d’Alsace et Lorraine d’est. Les températures régionales font en moyenne 0,6 C de degrés en janvier et 19 C de degrés en juillet. La hauteur des précipitations annuelle étend de 510 à 1.020 mm.

 Mulhouse

Bibliographie

Livres

  • Putnam, Ruth. Alsace and Lorraine: From Caesar to Kaiser. New York: G. P. Putnam’s Sons / The Knickerbocker Press, 1915.

Sites d’Internet