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Être et paraître

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elodie's corrections
Nous vivons dans un monde avec des milliers d’autres personnes. Chaque jour, on voit des centaines de gens avec qui l’on doit communiquer et s'entendre. Dans chaque cas, nos rapports avec ces gens sont très importants et l'on doit nous devons présenter la meilleure image possible de notre caractèrenous-mêmes. À cause de cela, on dépense passe beaucoup de temps a à bien se présenter. En même temps, on peut oublier notre identité « réelle » au à tel point que l’image présentée n’a aucune relation avec notre vraie personnalité.
L’être humain est un animal social qui ne peut pas survivre lui-mêmeseul. On a besoin d’aide d'autres personnes pour vivre une vie intéressante, vivante, et heureuse. Mais en même temps, ces autres personnes nous aident seulement s’ils nous trouvent agréables. Ainsi, on a besoin de créer une image pour survivre. Depuis l’enfance, on peut sentir reconnaît l’importance de bien se comporter. On apprend que si l'on fait des bêtises, on est puni ; si on l’on veut avoir des amis, on doit être gentils amiable et ne pas faire de choses être trop bizarresexcentrique. On apprend découvre l’importance d’avoir une « bonne » image publique et l’on essaie de la créer (et de la tenirsoutenir, n'est-ce pas?).
Cette dépendance n’est pas un malaise. À chaque moment de la journée, notre cerveau reçoit une multitude d'informations sensorielles qu’il ne peut pas complètement analyser. Par conséquent, il doit jeter rejeter la plupart de ces informations pour avoir l’opportunité de se concentrer sur des choses celles considérées plus importantes, comme , par exemple, trouver notre prochain repas et éviter les des dangers dans le monde. De même, quand on rencontre des personnes inconnues, on a besoin de les « filtrer » et décider lesquelles sont « importantes » pour nous et lesquelles n’ont aucune importancepeuvent être rejetées, sans avoir beaucoup de temps pour faire ces décisions. Alors, on doit tenir retient des images des autres parce qu’on ne peut pas prendre le temps d'analyser et d'observer chaque personne dans le monde de connaître quelqu’un avant de former un portrait de chacun (c'est se faire une phrase confusante, mais je ne sais pas comment tu peux la corriger exactement)opinion complète sur cette personne. Si on l’on ne fait pas cela, on devient fou à cause d’un envahissement d’information d’informations !
À cause de cela, on a souvent besoin d’avoir plusieurs « personnalités ». Par exemple, on se comporte différemment devant son patron que devant sa femme. On présente une partie différente de soi-même pour différentes sortes d’amischange qui l’on est par rapport aux situations et personnes présentées. Ce n’est pas nécessairement mauvais, parce que tout le monde ne doit pas être conscients conscient de tout ce qui se passe dans nos vies. C’est pourquoi on a les des amis fidèles et les des amis « simples ». Les images différentes que nous présentons au monde peuvent être simplement « incomplètes » mais doivent toujours être « véritables ».
La différence entre cette image et notre « vrai vraie » personnalité est formée par plusieurs facteurs. La confiance de la personne a un rôle très important dans la création de son image. Les gens confiants sûrs d’eux-mêmes qui n’ont pas peur d’être confus (je ne comprends pas ce que tu veux dire ici – ''anglais: confident people who are not afraid of being embarrassed'') de se ridiculiser peuvent montrer leur « vraies » personnalités ; alors, il n’y a pas de grande différence entre l’image publique et la personne interne. Le niveau social a un rôle aussi, car quand on a beaucoup d'amis, il n'est pas nécessaire d’attirer les autres et l’on peut révéler les parties « anormales » de soi sans conséquences. En même temps, les célébrités sont si « hautes élevées » (que veux-tu dire?) et publiques dans le regard public que l’inverse est le cas se procure dans cette situation : elles doivent créer une image presque entièrement fausse. Le dernier facteur est le cercle social dans lequel on présente cette image et les buts que l'on veut achever dans ce cercle. Par exemple, si l’on trouve un travail dans la gendarmerie, on ne dit pas que l’on a pris des drogues quand on était plus jeune.
Tout cela n’est pas un problème tant que cette différence n’est pas énorme. Un autre côté de ce processus est quand l’image a une influence sur la personne « réelle » et quand on change à cause des de contraintes de la société. Chaque jour, nous sommes bombardés par les des « standards » pour se comporter, s’habiller, et vivre. À chaque instant, on modifie l’image son image extérieure un peu, et avec le temps, la personne réelle change aussi. Comme avec le mythe dans « Le Mythe de Sisyphe», où la frontière entre la réalité et la création de bonheur est floue, on trouve que la distinction entre « l’être » et « le paraître » n’est pas vraiment apparente.
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