(CNous vivons dans un monde avec des milliers d’autres personnes. Chaque jour, on voit des centaines de gens avec qui l’on doit communiquer et s'est le mieux que je puisse donner pour entendre. Dans chaque cas, nos rapports avec ces gens sont très importants et l'instanton doit présenter la meilleure image possible de notre caractère. Je reviendrais plus tard relire le texteÀ cause de cela, on dépense beaucoup de temps a bien se présenter. En même temps, on peut oublier notre identité « réelle » au point que l’image présentée n’a aucune relation avec notre vraie personnalité. Happy Thanksgiving! -Pierre-)
Nous vivons dans L’être humain est un monde avec des milliers d’autres animal social qui ne peut pas survivre lui-même. On a besoin d’aide d'autres personnes. Chaque jourpour vivre une vie intéressante, vivante, on voit des centaines de gens avec qui on doit communiquer et s'entendreheureuse. Dans chaque casMais en même temps, nos rapports avec ces gens sont très importants et l'autres personnes nous aident seulement s’ils nous trouvent agréables. Ainsi, on doit présenter la meilleure a besoin de créer une image possible de notre caractèrepour survivre. À cause de celaDepuis l’enfance, on dépense beaucoup peut sentir l’importance de temps a bien se présentercomporter. En même tempsOn apprend que si l'on fait des bêtises, on est puni ; si on veut avoir des amis, on peut oublier notre identité doit être gentils et ne pas faire de choses trop bizarres. On apprend l’importance d’avoir une « réelle bonne » au point que l’image présentée n’a aucune relation avec notre vrai personnalitéimage publique et l’on essaie de la créer (et la tenir, n'est-ce pas?).
L’être humain est Cette dépendance n’est pas un animal social qui malaise. À chaque moment de la journée, notre cerveau reçoit une multitude d'informations sensorielles qu’il ne peut pas se soutenir (survivre?) lui-mêmecomplètement analyser. On a besoin d’aide d'autres personnes Par conséquent, il doit jeter la plupart de ces informations pour vivre une vie intéressante, vivanteavoir l’opportunité de se concentrer sur des choses plus importantes, comme trouver notre prochain repas et heureuseéviter les dangers dans le monde. Mais en De même temps, ces autres quand on rencontre des personnes nous aident seulement s’ils nous trouvent agréables. Ainsiinconnues, on a besoin de créer une image les « filtrer » et décider lesquelles sont « importantes » pour survivre. Depuis l’enfancenous et lesquelles n’ont aucune importance, on peut sentir l’importance sans avoir beaucoup de bien se comportertemps pour faire ces décisions. On apprend que si l'Alors, on fait doit tenir des bêtises, on est puni ; si on veut avoir images des amis, on doit être gentils et autres parce qu’on ne peut pas faire prendre le temps d'analyser et d'observer chaque personne dans le monde avant de choses trop bizarres. On apprend l’importance d’avoir une « bonne » image publique et l’on essaie former un portrait de la créer chacun (et la tenir, nc'est-ce une phrase confusante, mais je ne sais pas?comment tu peux la corriger exactement). Si on ne fait pas cela, on devient fou à cause d’un envahissement d’information !
Cette dépendance n’est pas un malaise. À chaque moment cause de la journeecela, notre cerveau reçoit une multitude d'informations sensorielles qu’il ne peut pas complètement analyseron a souvent besoin d’avoir plusieurs « personnalités ». Par conséquentexemple, il doit jeter la plupart on se comporte différemment devant son patron que devant sa femme. On présente une partie différente de ces informations soi-même pour avoir l’opportunité différentes sortes d’amis. Ce n’est pas nécessairement mauvais, parce que tout le monde ne doit pas être conscients de tout ce qui se concentrer sur des choses plus importantes, comme trouver notre prochain repas et éviter les dangers passe dans le mondenos vies. De même, quand on rencontre des personnes inconnues, C’est pourquoi on a besoin de les « filtrer » amis fidèles et décider lesquelles sont les amis « importantes simples » pour nous et lesquelles n’ont aucune importance, sans avoir beaucoup de temps pour faire ces décisions. Alors, on doit tenir d(l)es Les images des autres parce qu’on ne peut pas prendre le temps d'analyser et d'observer chaque personne dans le différentes que nous présentons au monde avant de former un portrait de chacun (<-- c'est une phrase confusante, peuvent être simplement « incomplètes » mais je ne sais pas comment tu peux la corriger exactement)doivent toujours être « véritables ». Si on ne fait pas cela, on devient fou à cause d’un envahissement d’information !
A cause de cela, on a souvent besoin d’avoir plusieurs La différence entre cette image et notre « personnalités vrai »personnalité est formée par plusieurs facteurs. Par exemple, on se comporte differemment devant La confiance de la personne a un rôle très important dans la création de son patron que devant sa femmeimage. On présente une partie différente de soi-même pour différentes sortes d’amis. Ce n’est Les gens confiants qui n’ont pas peur d’être confus (je ne comprends pas necessairement mauvaisce que tu veux dire ici – ''anglais: confident people who are not afraid of being embarrassed'') peuvent montrer leur « vraies » personnalités ; alors, parce que tout le monde ne doit il n’y a pas être conscients de tout ce qui se passe dans nos viesgrande différence entre l’image publique et la personne interne. C’est pourquoi Le niveau social a un rôle aussi, car quand on a beaucoup d'amis, il n'est pas nécessaire d’attirer les amis fidèles autres et l’on peut révéler les amis parties « simples anormales »de soi sans conséquences. Les images différentes que nous présentons au monde peuvent être simplement En même temps, les célébrités sont si « incomplètes hautes » mais (que veux-tu dire?) et publiques que l’inverse est le cas : elles doivent toujours etre « véritables »créer une image presque entièrement fausse. Le dernier facteur est le cercle social dans lequel on présente cette image et les buts que l'on veut achever dans ce cercle. Par exemple, si l’on trouve un travail dans la gendarmerie, on ne dit pas que l’on a pris des drogues quand on était plus jeune.
La différence entre cette image et notre « vrai » personnalité est formée par plusieurs facteurs. La confiance de la personne a un rôle très important dans la création de son image. Les gens confiants qui n’ont pas peur d’être confus (je ne comprend pas ce que tu veux dire ici) peuvent montrer leur « vraies » personnalités ; alors, il n’y a pas de grande différence entre l’image publique et la personne interne. Le niveau social a un rôle aussi, car quand on a beaucoup d'amis, il n'est pas necesssaire d’attirer les autres et l’on peut révéler les parties « anormales » de soi sans conséquences. En même temps, les célébrités sont si « hautes » (que veux-tu dire?) et publiques que l’inverse est le cas : elles doivent créer une image presque entierment fausse. Le dernier facteur est le cercle social dans lequel on présente cette image et les buts que l'on veut achever dans ce cercle. Par exemple, si l’on trouve un travail dans la gendarmerie, on ne dit pas que l’on a pris des drogues quand on etait plus jeune. Tout cela n’est pas un problème tant que cette différence n’est pas énorme. Un autre côté de ce processus est quand l’image a une influence sur la personne « réelle » et quand on change à cause des contraintes de la société. Chaque jour, nous sommes bombardés par les « standards » pour se comporter, s’habiller, vivre. À chaque instant, on modifie l’image extérieure un peu, et avec le temps, la personne réelle change aussi. Comme avec le mythe de Sisyphe, où la frontière entre la réalité et la création de bonheur est floue, on trouve que la distinction entre « l’être » et « le paraître » n’est pas vraiment distincte. ---------------------------------- Nous vivons dans un monde avec milliers d’autres personnes. Chaque jour, on voit des centaines de gens avec qui on doit communiquer [et s'entendre - only if you need this] (et l’on doit communiquer avec eux). Dans chaque cas, notre either amitie or rapport(not connaissance) avec ces gens est très important(e) et (don't need this l’) on doit présenter la meilleure image possible de notre caractère. À cause de cela (can just say "Donc"), on dépense beaucoup de temps pour se présenter bien. Aux même temps, on (peut) oublie (r) notre identité « réelle » au point que l’image présentée n’a pas aucune relation à notre (vrai) personnalité (réelle). L’être humain est un animal social qui ne peut pas se soutenir lui-même. On a besoin d’aide des autres personnes pour vivre une vie intéressante, vivante, et contente. Mais en (aux) même(temps is singular, pas de s) temps, ces autres personnes nous aident seulement s’ils nous trouvent agréables. Là (Ainsi could work better), on a déjà besoin de créer une image pour survivre. Depuis l’enfance, on (se don't need this) sentit l’importance de se comporter bien. On apprend que si on fait les bêtises, on est puni ; si on veut avoir des amis, on doit être(pas de s) gentil(s) et ne pas faire les choses trop bizarres. On apprend l’importance d’avoir une « bonne » image publique et l’on essaie de la créer (et la tenir, n'est-ce pas?). Cette dépendance n’est pas une malaise (, bien sûr don't need this phrase). À chaque instant de jour, notre cerveau reçoit une multitude (pas d’informations, c'est plus comme des impulses) sensorielles qu’il ne peut pas complètement analyser. Par conséquent, il doit jeter la plupart de ces (informations? see above) pour avoir l’opportunité de se concentrer sur les choses plus importantes, comme trouver notre repas suivant et éviter les dangers dans le monde. De même, quand on rencontre les personnes inconnues, on a besoin de les « filtrer » et décider lesquelles sont « importantes » pour nous et lesquelles n’a pas aucune importance. Aussi on n’a pas beaucoup de temps pour faire ces décisions. Alors, on doit tenir d(l)es images des autres parce qu’on ne peut pas prendre le temps pour analyser et observer chaque personne dans le monde avant former un portrait de chacun (<-- c'est une phrase confusante, mais je ne sais pas comment tu peux la corriger exactement). Si on ne fait pas cela, on devient fou à cause d’un envahissement d’information ! C’est pourquoi (A cause de cela) on a souvent besoin d’avoir plusieurs « personnalités ». Par exemple, on se comporte différ(differament)ent devant son patron que (devant) sa femme. On présente une partie différente de soi-même pour les différentes sortes d’amis. Ce n’est pas mal (mal est un jugement, ca ne sonne pas bien), parce que toutes les personnes ne doivent pas êtres conscients de tous (toutes, feminin) les choses qui se passe(passent) dans nos vies. C’est pourquoi on a les amis fidèles et les amis « simples ». Les images différentes qui (que) nous présentons au monde peuvent être simplement « incomplètes » mais toujours « véritables ». La différence entre cette image et nos (notre) « vrai » personnalité est formée par plusieurs facteurs. La confiance de la personne a un rôle très important dans la création de son image. Les gens confiants qui n’ont pas peur d’être confuse(s) (je ne comprend pas ce que tu veux dire ici) peuvent montrer leur « vraies » personnalités ; alors, il n’y a pas d’une grande différence entre l’image publique et la personne interne. Le niveau social a un rôle aussi, parce que quand on a beaucoup des amis, on n’a pas une vraie nécessité d’attirer les autres et l’on peut révéler les parties « anormales » de soi sans conséquences. Aux (En meme temps?) même temps, les célébrités sont si « hautes » et publiques que l’inverse est le cas : ils doivent créer une image presque toute fausse. Le dernier facteur est le cercle social dans lequel on présent(e) cette image et les buts qu’on veut achever dans ce cercle. Par exemple, si l’on trouve un travail dans la gendarmerie, on ne dit pas que l’on a pris des drogues quand on est (etait plus jeune) plus jeune (pas de s). Tout cela n’est pas un problème tant que cette différence n’est pas énorme. Un autre côté de ce processus est quand l’image a une influence sur la personne « réelle » et quand on change à cause de contrainte de la société. Chaque jour, nous sommes bombardés par les « standards » pour se comporter, s’habiller, vivre. À chaque instant, on modifie l’image extérieur un peu, et avec temps, la personne réelle (peut-etre la vrai personne ira mieux) change aussi. Comme avec [[le mythe de Sisyphe]], où la frontière entre la réalité et la création de bonheur est buée, on trouve que la distinction entre « l’être » et « le paraître » n’est pas (tu n'as pas besoin de ce mot, toujours) vraiment (c'est pas un mot francais: distincte; peut-etre vraiment claire?)apparente.