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Le mythe de Sisyphe

4 bytes added, 05:18, 27 October 2006
clarification of meaning, plural...
Dans l’histoire Le mythe de Sisyphe, il s’agit d’un personnage qui fait la même chose – rouler une pierre au bord d’une montagne – pour l’éternité. Camus lie cette action au travail qui est faite par les ouvriers du monde moderne. Il généralise cette comparaison à tous le monde et dit que la vie de chacun est comme la vie de Sisyphe – monotone, cyclique, et sans direction. Cette vue de la vie, en générale, est très sombre et assez pessimiste. Le but de la vie est une question éternelle, comme le roulage de pierre pour Sisyphe, à qui personne ne peux répondre avec satisfaction pour les centaines. On vit la vie est chacun trouve les raisons divers pour donner une « raison d’être » pour sa vie. Mais Camus veux dire que tout cela est inutile et futile et que nos vies sont sans direction. Il dit aussi que nous ne sommes pas conscients de ce fait. La conscience de ce fait nous torture ; c’est peut-être pourquoi nous ne pensons pas à notre lamentable condition et choisissons rester dans ce monde cyclique, invariable, sans objectif. Une conséquence directe de ce désire est que l’homme moderne n’a pas besoin de beaucoup pour créer un raison d’être. «La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme» ; on a besoin d’un but pour passer les jours, mais on ne veut pas penser beaucoup, et on se rende compte qu’on vit vivre ces vies misérables et . Alors, on trouve les raison raisons simples pour donner une « direction » à nos vies. On a besoin seulement de apaiser son conscience et la discordance psychologique, et ce ne nécessite beaucoup.
Quand nous sommes petits, nos parents décident la direction de nos vies. Plus tard, aller à l’école est simplement pour passer les examens, recevoir les bonnes notes, et entrer l’université. Après l’université, qu’est-ce qu'on fait ? On trouve toujours les nouvelles raisons pour vivre. À chaque étape, nous ne sommes pas contents d’avoir achevé le but, mais on trouve des nouveaux buts. Ce nous donne un sens d’accomplissement, d’importance, comme la vie n’est pas vraiment cyclique. Mais nous avons tort, parce que la vie est toujours la même – nous dormirons, nous mangeons, nous mourons. Dans les grands institutions comme les universités et les corporations, la plupart de personnes reste inconnu, inconséquent, et sans importance. Sauf leurs patrons proches et leurs familles, personne ne se rende pas compte de l’importance de leur travail. Mais c’est une perspective aussi pessimiste et cynique. Dans un sens, au même temps, c’est la réalité. C’est pourquoi nous créons les « buts » pour nous-mêmes.
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