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<center>'''Final Report: The History of Alsace and Lorraine – from the Celts to Present Day'''<br>prepared by<br>[[Alexander Kennedy ]] and [[Pavel Borokhov]]<br>an independent study under the direction of [[James Kaiser]]<br></center>
==Les Premières Gens de la Région==
L’histoire de la région d’Alsace et Lorraine est très vieille et intéressante. Nous commençons nos recherches aux années 1500 av. J.-C.
Dans les années 1500 av. J.-C., les tribus celtes, qui sont nomades peupla la région. Presque le née du Christ, les Romains conquirent la région et cultivèrent les raisins pour faire le vin. Ils améliorent la région par construire les routes entre les villes et les fortifications autour les villes. La ville Divodurum fut la ville principale de domaine Romain Gaule, et elle devint la ville du Metz plus tard. Les Romains construisirent un grand forte qui s’appelle Argentoratum, qui devint Strasbourg plus tard. On voit que les Romains créèrent les plus grandes villes de la région avant le née du Christ. La domination Romaine continua jusqu’au cinquante centième.
Dans les années 200-300, les Romains, Alamans, et Francs se furent battus plusieurs fois. En 396, les Romains enrôlent des Francs et des Alamans pour défendre la frontière du Rhin contre les Huns. Avec la décadence de royaume romain, les habitants de la région continuèrent ses vies sans beaucoup des altérations. Les officiels simplement ne furent pas responsables aux officiels Romains. Les gens continuèrent ses vies agricoles. Après l’invasion des Francs avec Clovis en 496, les Alamans habitèrent côte à côte avec les Gaules et les Francs. Aux mêmes temps, on voit pour la première fois la progressive division de Lorraine dans deux parties : le nord allemand et le sud franc. Prés de 500 les Francs en Alsace essayèrent de convertir les gens païens à christianisme. Quand Clovis mourut, ses fils divisèrent son royaume entre eux-mêmes et Alsace et Lorraine devint des parties du royaume d’Austrasie, gouvernèrent par Theuderic I.
Dans l’époque de Charlemagne (724-814), l’Austrasie devint le centre géographique de son royaume carolingien. Dans cette époque beaucoup monastères furent construits et il y eut beaucoup de prospérité. Après le mort de Louis le Pieux, fils de Charlemagne, en 840, son fils aîné Lothaire (à droite) assuma la position de roi du royaume. Ses frères, Charles le Chauve et Louis le Germanique, ne furent pas contents avec ça et ils défirent Lothaire à la bataille de Fontenoy-en-Puisaye en 841. Les deux frères renforcèrent leur alliance par le Serment de Strasbourg, et finalement Lothaire agréa faire paix.
Le Traité de Verdun de 843 divisa le royaume de Charlemagne dans trois parties. Charles reçut la partie d’ouest, la Francie occidentale, qui deviendra la France. Louis reçut la partie d’est, la Francie orientale, qui deviendra la Germanie. Finalement, Lothaire garda la partie centrale, qui deviendra les Pays-Bas, la Lorraine, l’Alsace, la Bourgogne, la Provence, et l’Italie. Lothaire mourut en 855 et son fils, Lothaire II, succéda à lui en Lotharingie. Les autres fils reçut autres parties du royaume de Lothaire Ier.
Lothaire II ne régna pas beaucoup de temps ; il dépensa la plupart de son règne en essayant divorcer sa femme, Thiberge de Bourgogne, et quand il succéda finalement en achever ça, il mourut en retournant de Rome en 869. Parce qu’il n’eut pas d’enfants avec Thiberge (ses seule garçons, avec sa deuxième femme Waldrade, réputèrent bâtards), ses oncles, Charles le Chauve et Louis le Germanique divisèrent son royaume en 870.Le Traité de Meersen de 870 plaça Alsace dans la Francie Orientale et le plupart de Lorraine dans la Francie Occidentale. En 921, la Francie Occidentale donna Henri l’Oiseleur l’indépendance de son royaume et le Saint Empire Romain Germanique fut formellement créé. En 959, Duc Brunon divisa Lotharingie entre Haute-Lotharingie (Lorraine) et Basse-Lotharingie (Lothier). À ce moment, Lorraine déjà eut un duc, Duc Frédéric de Bar ou d’Ardennes ; par conséquent, le duché de Lorraine maintenant consista de Lorraine et Bar.En 1047, Duc Adalbert de Bouzonville établit une dynastie qui dura jusqu’à 1453.
En Alsace, Frédéric II décréta deux Pragmatiques Sanctions en 1220 et en 1232 qui concédèrent le droit de régner aux évêques et grands. Ces Sanctions rendirent possible le développement de la cité indépendant. Vers le troisième quartier du 15e centième, Alsace, comme Lorraine, sépara entre deux parties : Sundgau (Haute-Alsace), dans le sud, et Nordgau (Basse-Alsace), dans le nord. Une branche cadette de la Maison Habsbourg réglera Sundgau, mais Nordgau fut dépendant sur le diocèse du Strasbourg. Il y eut aussi onze villes indépendantes ou libres, desquelles dix formèrent la Décapole, une ligue fonda en 1354 pour favoriser la coopération militaire et économique entre les villes. Les villes qui comportèrent l’alliance furent Haguenau, Colmar, Wissembourg, Turckheim, Obernai, Kaysersberg, Rosheim, Munster, Sélestat, et Mulhouse ; Haguenau fut la préfecture (appelle « Landvogtei ») de la ligue. En 1515, Mulhouse quitta la ligue pour joindre les cantons suisses et Landau prit sa place. Les villes de la Décapole purent faire appel contre leur préfet dans la Diète d’Empire. L’alsace ne fut pas vraiment une entité unifie ; il y eut aussi cinq comtés, 22 seigneuries, quelques fiefs, et plus de deux cents châteaux féodaux.
Le rôle des villes libres devint important en Lorraine aussi pendant ce temps. Duc Ferry III, par contrôler les évêques et les grands, encouragea la création des Chartes communes, qui basèrent sur Beaumont-en-Argonne. Par conséquent, il engrangea le soutien du Tiers État et supplia un sens de nationalisme pour les paysans. Pourtant la vie paysanne fut très difficile et pauvre, et en 1358 Jacques Bonhomme commanda une révolte contre les grands et razzia leurs châteaux. L’aggravation ne dura que quelques semaines, et on voit que les Chartes n’abolirent pas la hiérarchie de la société.
Dans ce temps, la France et l’Angleterre se furent battues en la guerre de Cent Ans et Lorraine a une partie intéressant dans ce conflit. Jeanne d’Arc, libératrice célèbre, naquit en Lorraine en 1410. En plus, dès qu’elle visita l’église de St. Nicolas du Port en Nancy, Duc Charles I refusa batailler avec lui (par conséquent de son mal santé), mais il lui écouta et il lui donna des chevaux et d’argent pour aider achever sa mission.
Après le mort de Charles, sa fille Isabelle assuma son trône ; 83 grands lui donnèrent leurs approbations (d’ascension) et lui déclarèrent une « dame et souveraine » – une chose assez progressive. Son mari fut René d’Anjou, qui posséda la Duché de Bar, et leur mariage termina plusieurs conflits entre les deux duchés (Lorraine et Bar) ; en plus, les grands de Bar acceptèrent Isabelle comme une souveraine.
L’un des premiers choses qui firent les nouveaux souverains fut avalisé les Chartes de toutes les villes ; ça créa un précédent pour les successifs souverains de Lorraine. Antoine de Vaudémont, cousin d’Isabelle, contesta son pouvoir et enrôla l’aide de Charles de Bourgogne (dit Charles le Téméraire, image au-dessous). Isabelle, à sa tour, appela Charles VII de France pour lui aider. Les deux armées rencontrèrent à Bulgnéville ou l’artillerie bourgogne tua trois milles troupes lorraines et la force bourgogne captura René. Sigismond, Empereur des Romains, confirma la validité de souveraineté d’Isabelle en avril 1434, et Charles VII amena ses troupes à Metz, mais sans beaucoup d’effet. Les discussions continuèrent jusqu’au mariage de Yolande, fille de René et Isabelle, et Frédéric, fils d’Antoine. Antoine libéra René six ans après sa capture, mais René laissa la gouvernance de Lorraine à sa femme et se fut concentré au Naples et le patronage des artistes en Provence. Isabelle et Antoine enfantèrent une autre fille, Marguerite, qui devina la femme d’ Henri VI d’Angleterre.
Quand Isabelle mourut en 1453, son fils, John II, devina le souverain jusqu’à 1453 ; il fut aussi le Roi de Naples. Son fils, Nicolas I, mourut en 1473, trois années après le mort de son père, et Yolande, avec son fils René II, courut à Nancy pour affirmer sa succession au duché. Les grands lui acceptèrent et elle abdiqua sa souveraineté à son fils René II. Par conséquent, il unifia les duchés de Lorraine, Bar, et Vaudémont, mais sa position ne fut pas assurée. Beaucoup des vassaux admirèrent Charles de Bourgogne pour sa résistance contre Frédéric III, Empereur des Romains, et Louis XI, Roi de France, et ils favorisèrent une alliance entre Charles et René.
L’alliance chargea Charles avec la protection de Lorraine, avec la liberté de marcher ses forces entre le duché. À son tour, René dut désigner les officiels qui obligèrent à Charles, et dans les cas des hauts positions, qui furent libérés de ses obligations de René s’il coupa le contrat. 73 grands et Yolande acceptèrent l’accord le 18 novembre 1473.
Les relations entre Charles et René déclinèrent après cet accord. Quand René fut un jeune homme, il fut attiré à Charles comme un jeune homme a attiré à un home plus âgé. Mais les années passèrent, et l’urgence exorbitante de Charles, avec son agression augmentative, ennuya René plus en plus. Dans certaines villes, les garnisons Bourgogne replacèrent les garnisons Lorrains. Ainsi, René coupa l’accord et rejoindra la Ligue de Constance le 18 avril 1475. Cette ligue nous donne l’occasion de retourner à Alsace.
Frédéric III, Empereur des Romains, et son cousin Archiduc Sigismond (image au-dessous) possédèrent les territoires Habsbourg en Alsace et l’entier du Sundgau, avec Innsbruck pour la capitale. Partiellement en conséquence de la grosse fragmentation de ses possessions, Sigismond eut beaucoup des troubles et des problèmes. Les Suisses constamment battirent avec lui et il voulut acheter la paix avec eux. Il y eut un grand problème : il n’y eut pas d’argent et il fut profondément endetté. Il attira quatre personnes pour lui aider : Frédéric III, son cousin, Maximilien, fils de Frédéric, Louis XI, Roi de France, et Charles de Bourgogne. Frédéric et Maximilien ne purent pas aider son parent. Louis eut peur des Suisses et déclina de donner d’aide. Charles accepta l’offre, mais avec quelques conditions. Charles donna dix milles florins immédiatement et quarante milles florins en plus avant 24 septembre 1469. Sigismond céda tous ses droits seigneuriaux à Charles, mais il eût pu acheter les nouvelles possessions de Charles s’il avait obtenu une somme suffisant d’argent (mais il dut présenter la somme compte). Avec l’argent de Charles, Sigismond négocia une paix avec les Suisses, mais Charles eut un surpris qui attendit pour lui.
Charles envoya deux de ses financiers, Jean Poinsot et Jean Pellet, au nouveau territoire pour examiner les propriétés qu’il acheta. Ils ne portèrent pas des bonnes nouvelles ; la plupart du territoire furent fragmentés et pauvres. Il y eut beaucoup des petits états libres qui furent réglés par les évêques, les abbés, et les comptes palatins, avec quelques cités indépendantes. Son gouverneur, Peter d’Hagenbach, essaiera instaurer les règles de Charles sur les territoires, particulièrement sur Mulhouse indépendant. C’est lui qui nous donne l’occasion de retourner à Lorraine et fait un lien entre Alsace et Lorraine.
Les actions expansionnistes de Charles alarmèrent les villes et les états de la Ligue Basse (« Lower Union »), et ils formèrent une autre alliance, la Ligue de Constance, avec les états de la Ligue Haute (« Upper Union »), et c’est cette Ligue qui René II rejoindra en avril 1475. Quand les villes Alsaciens revotèrent contre leur gouverneur Hagenbach en avril 1474, la Ligue de Constance utilisa l’opportunité de déclarer une guerre contre la Bourgogne. René, à son tour, envoya un héraut à Charles, qui lui donne la lettre avec la déclaration du guerre, et, dramatiquement, jeta sur terre un gantelet tacha avec sang. Charles, fiérot comme toujours, répondit qu’il sera dans le territoire de héraut en un rien de temps et dit qu’il fut comblé. René compta à Louis XI de France pour lui aider, mais Louis, en négligeant complètement tous les besoins et intérêts de René, fit paix avec le Bourgogne pour neuf années suivantes et ne supplia pas les troupes. Quoique Strasbourg et quelques autres villes de la Ligue de Constance donnassent l’aide, René ne put pas arrêter Charles quand il entra Nancy en 1475.
Quand il arriva à Nancy, Charles reçut d’hommages comme un duc souverain, mais il joua un rôle de conquérant miséricordieux – il ne permit pas des cruautés et il pratiqua une politique diplomatique et conciliatoire. En décembre de la même année, il convoqua les États de Lorraine, et en lui adressant comme ses sujets, promit qu’il serait un gouverneur juste et présenta ses intentions concernant la création de son « Royaume Moyenne » avec Nancy pour la capitale. Frédéric III, Empereur des Romains, s’accorda avec les plans de Charles, et il sembla que René fut impuissant.
Le onze janvier 1476, Charles quitta Nancy avec intentions de punir les Suisses et leurs alliés. Quand il retourna, il ne trouva pas la même ville qu’il quitta.
Quand la Ligue de Constance déclara la guerre contre Charles, il fit des alliances avec Milan et Les États de Savoie pour s’aider. Ce plan ne marcha pas bien parce que les Suisses de Berne conquirent Vaud et bloquèrent les armées Milanais et Savoie. Charles, confiant dans la supériorité de son armé (bien que l’armé fut dépassé) décida de battre contre les suisses. Ce fut le début de sa fin. Charles marcha avec ses troupes à Granson, où ils vainquissent et pendirent la garnison suisse après sa capitulation. Charles continua au château de Vaux-Marcus par un chemin montagneux, et le 2 mars 1476 son armée fut embuscade par les forces suisses. Après trois heures de combats, les renforcements suisses arrivèrent avec les mugissements, et les troupes de Charles, en ne comprenant pas les raisons par le recueillement d’eux, paniquèrent et firent terrorisées. Les Suisses descendirent sur le camp abandonné et trouvèrent un riche butin, avec beaucoup de fusils (400 pièces d’artillerie) et armes enrichies de joyaux.
Cependant, l’Archiduc Sigismond et ses amis rallièrent et amassèrent un somme d’argent suffisamment pour acheter tous les territoires qui Sigismond céda à Charles en 1469, mais Charles refusa l’argent, en exaspérant les Alsaciens en plus.
Charles, qui perdit seulement 300 victimes dans la batille de Grandson, voulut venger la victoire des Suisses. Il rallia et réorganisa ses troupes, complémentées par les arbalétriers italiens, les archers anglais, et les piquiers flamands, près de Lausanne. L’armée avança en direction de Berne, et après quelques jours, arriva à Morat, qui fut défendu par on garnison de 1500 hommes approximativement. Elle assiégea la ville, construit des palissades (qui s’appelèrent le Grünhag), et prépara pour la bataille. Le 18 juin, après plusieurs bombardements artilleurs qui percèrent les remparts, les troupes attaquèrent la ville de Morat, mais la garnison de la ville repoussa les Bourguignons après plus de huit heures des combats.
Pour l’affrontement final, la Ligue, avec l’aide de la Diète, ramassa une armée colossal qui fut comporté de cinq parties. Notre duc René II de Lorraine amena trois cents troupes et commanda la cavalerie, et beaucoup des Alsaciens vinrent pour défendre l’Archiduc Sigismond. Il y eut aussi l’Argovien Hans de Hallwyl, qui commanda les Oberlands et Fribourgeois, le Zurichois Hans Waldmann, qui dirigea le corps central, et le Lucernois Gaspard de Hertenstein, qui commanda l’arrière-garde. Les Confédérés, le nom donna aux troupes alliées, procédèrent furtivement par la forêt Birchenwald (forêt de bouleau) et attaquèrent devant le camp de Charles le 22 juin 1476. Ils surprirent les Bourguignons, qui mangèrent ou exercèrent (on ne peut pas vérifier le fait) et ne furent pas prêts pour l’attaque. Aux mêmes temps, les troupes bourgognes furent dispersées et se déployèrent peu à peu. Les Suisses, avec leurs forces massifs, démontèrent le Grünhag rapidement et repoussèrent les petits charges des bourguignons. Sans beaucoup de temps, les Bourguignons furent encerclés par trois côtés, avec le lac derrière d’eux. Les Suisses ne donnèrent pas de quartier et Charles perdit une troisième de son armée avec plus de 400 pièces d’artillerie. Il échappa à Morges et à Pontarlier après. Il eut seulement une base à Pont-à-Mousson, et sa capitale futur fut en danger d’être perdu.
Encouragea par son succès à Morat et le défait de Charles, René retourna à Nancy, et malgré la défection de Louis XI mais sûr de l’assistance des alliées de la Ligue de Constance, il rallia ses citoyens et sujets et reprit Nancy. Un héritage opportun lui donna l’occasion de payer ses troupes ; le Diète Suisse approuva une alliance plus serrée avec lui, et le Roi de France fit deux choses aussi. Il déclara que l’armée française serait en Dauphiné pour aider ajuster les affaires de la Maison de Savoie et il fut gracieux à une ambassade suisse en France.
Charles arrivera à Nancy le 22 octobre 1477, moins de deux années après son départ, trouva les portes fermées, et assiégea la ville. Quelques alliés italiens de lui abandonnèrent leurs allégeances à lui à ce moment, et tous les deux Nancy et Charles affrontèrent des épreuves ; Charles perdit beaucoup des troupes à cause de froid de l’hiver et les gens de Nancy n’eurent pas beaucoup des provisions. Finalement, le 5 janvier 1477, René arriva pour sauver la ville. Contre des recommandations, Charles décida d’attaquer la ville. Les forces Suisses, qui marchèrent pour une semaine au travers d’Alsace à partir de Bâle, arrivèrent à ce moment, et les troupes de Charles furent complètement détruites par les forces de René et les troupes Suisses. Charles lui-même meurt dans les combats, et les gouvernements de Lorraine et Alsace furent restaurés.
René, qui révéra l’ancien duc, lui donna un funéraire honorable ; son corps, qui fut trouvé gelée dans un bassin près du champ de bataille, fut placé arrière le haut autel dans l’église de Saint Georges pour cinq jours. Une procession des grands de Lorraine conduisit par le duc René suivit le cercueil de Charles à sa place d’enterrement. Le duché de Lorraine fut restauré, une duché plus cordonné avec les intérêts français.
René II régna pour les suivantes 30 années, et il espéra de conquérir les fragments de la Bourgogne, mais il ne succéda pas parce qu’il n’eut ni compétence (militaire) ni forces avec qui il aurait accompli ses buts. Plutôt, Louis XI (de France, à droite) prit la plupart de l’ancien royaume, et presque saisit quelques territoires de René en sa quête atteindre ses bordures « naturels » – c’est-à-dire, le Rhin. La Franche-Comté resta dans le Saint Empire romain germanique. A la Diète de Worms en 1496, René rendit hommage à Maximilien Ier, Roi des Romains, mais refusa de donner le serment jurèrent par les princes germaniques.
René dirigea ses efforts à la réputation de Lorraine par avoir patronné des œuvres et les intellectuels de la Renaissance, qui vinrent de la France et d’Allemagne (Saint Empire). Alsace, aussi, fut un havre pour les pensées progressives, et les premières imprimeries furent installées à Strasbourg en Alsace et à Saint-Dié-des-Vosges (ou simplement Saint-Dié) en Lorraine. Saint-Dié fut le siège d’un monastère fonda par Deodat dans le septième siècle ; elle bénéficia une immédiate à l’Empereur (des Romains) et le Pape et fut libre des règles du Duc, mais René II offrit des « relations aimables » avec les bénéfices pratiques. Les scientifiques (humanistes) s’associèrent dans une guilde qui s’appela « Gymnasium Vogense » avec Walter Ludd, secrétaire de René, pour le président (« le génie dirigeant »), qui put trouver les fonds pour financer la publication d’œuvres. Quelques hommes renommés de cette région sont Matthias Ringmann, Martin Waldseemüller, et Joh. Basius Sendcurius (on ne trouve aucunes informations de cette personne). Waldseemüller fut le plus notable de trois ; il fut un clerc du diocèse, un imprimeur, et théologien, et il assuma la poste de Chanoine de Saint-Dié jusqu’à sa mort en 1552.
Avant la publication des atlas de Waldseemüller, Ptolémée fut la source primaire pour les publications et compilations géographiques et personne ne voulut risquer émerger de son ombrelle. La dernière édition comme ça fut publié en 1478. En 1507, Waldseemüller, avec Ringmann, publia un globe du monde et une mappemonde, qui furent accompagnés avec une livre qui s’appela « Cosmographiae Introductio » (Introduction de Cosmographie). Le livre contenu traduction en latin de la « Lettera » (des « quatre voyages ») d’Amerigo Vespucci (à droite), navigateur italien, avec Ringmann traduisant et Sendacurius écrivant la poésie. Ce livre aussi introduit le premier temps quand le mot « America » fut utilisé ; Waldseemüller l’utilisa pour désigner le nouveau continent à qui Amerigo voyagea, avec la forme féminine de son prénom, comme Europe et Asie. On inclut une copie de cette carte avec ce rapport, grâce à la Bibliothèque du Congrès, après (derrière) ce page. Au moment de publication, Waldseemüller ne connaît pas les voyages de Christophe Colomb. En 1513, il publia une édition révisée à Strasbourg ; cette œuvre fut une adaptation d’atlas Ptolémaïs, et il enleva le nom d’Amérique et le remplaça avec « Terra Incognita ». Cette œuvre contint aussi vingt cartes nouvelles, avec vingt-sept vieilles cartes ; le territoire d’Allemagne (ou Saint Empire) fut complètement son travail, et il y eut une fiche complètement dévouée à Lorraine. Mais le nom d’ « America » fut déjà planté, parce que plus de 1000 copies de « Cosmographiae » furent distribués. Les atlas de Waldseemüller placèrent l’Allemagne sur la carte pour la première fois, et furent les premières étapes à la reformation cartographique de Gerardus Mercator et Abraham Ortelius dans les années 1569-1570.
René stimula aussi la peinture et plaça Lorraine hautement parmi les petits états cultivés ; il nourrit les poètes aussi, qui écrivirent la poésie latine à Saint-Dié. Politiquement, René II unifia les duchés de Lorraine, Bar, et Vaudémont, prit plus de contrôle aux villes libres, et convertit les diocèses dans les domaines de la Maison de Lorraine au cause des liens de familles des ducs et évêques. Quand il mourut en 1508, il divisa ses territoires entre ses cinq fils ; Antoine, fils aîné, reçut Lorraine, Bar, et Vaudémont, avec une instruction explicite de garder ces territoires ensemble. Claude reçut la Comté de Guise, qu’il tourna en un duché. Claude devint un citoyen français naturalisé, maria Antoinette de Bourbon, et engendra dix enfants – deux cardinaux, un Duc de Guise, un Duc d’Aumale, et une fille qui maria Jacques V d’Écosse et enfanta Marie Ire d’Écosse (aussi Marie Stuart et Marie, reine d’Écossais) en 1542.
Antoine grandit dans le court de noblesse de Louis XI de France. Il est important pour deux raisons : il supprima une insurrection paysanne et il fléchit ses muscles diplomatiques dans le Saint Empire. L’insurrection des Rustauds en Alsace en 1525 répandit à Lorraine, à quel temps Antoine supprima la mutinerie et obtint le renom pour ses actions.
Ses actions diplomatiques avec le Saint Empire furent amusantes et intéressantes. Il envoya un représentant à la Convention de Nuremberg le 26 août 1542, une conférence formel entre les états d’Empire et Ferdinand Ier, Roi des Romains. Le représentant désavoua ses obligations féodales, avoir déclaré que Lorraine fut un état libre et indépendant. Il dira aussi que Lorraine eut de la rancune contre les juges Court Impérial (« Reichskammergericht ») au cause de ses actions contre Antoine et ses sujets par les « appellations » et les « mandements ». À la fin de la Convention, Lorraine dut payer seulement 2/3 des taxes d’un prince-électeur régulier et l’indépendance du duché fut mentionnée trois fois dans l’agrément. Charles V, Empereur des Romains (à droite), confirma l’agrément, à Spire le 28 juillet 1543 ; la Chambre Impériale de Spire le ratifia le 29 août 1561 ; et finalement, Rodolphe II, Empereur des Romains, renoua et confirma l’agrément en Prague le 2 janvier 1603. Une petite note : l’agrément eut une provision pour la défense de Lorraine par le Saint Empire, mais les ducs de Lorraine ne reçurent jamais l’aide d’Empereur, ni avant ce Convention, ni après. Chaque fois, ce fut un autre pays qui protégea Lorraine.
Cependant, Antoine dut piétiner attentivement – ses frères furent français, mais sa bru fut la nièce de l’Empereur des Romains – et ses intérêts furent divisés. Il mourut en 1544, et son fils, François Ier, mourut l’année suivant en avoir négocié une traité avec l’Empereur Rodolphe et François Ier de France. Sa veuve, Christine, nièce d’Empereur, ne fut pas eu confiance avec Charles II, son fils, et sa garde fut transférée à son oncle, l’évêque de Metz, qui fut allié avec la France. C’est probablement pourquoi Henri II de France n’eut pas beaucoup d’obstacles en avoir capturer les villes de Metz, Toul, et Verdun en 1552 sans combats.
Metz, à ce temps, fut vraiment une ville indépendante et libre ; elle refusa supporter les guerres et conflits « inintéressants » et questionna les ordres de Pape, inclus une bulle que « ne semble point être raisonnable, ne fondée en équité ». Dans les 15e et 16e siècles, des magistrats qui furent élus librement gouvernèrent la ville, contrôlèrent les troupes, reçurent les ambassades, et firent les traités avec autres ducs, comtes, et rois. Quand les Empereurs visitèrent la ville, la ville décida qui purent entrer et combien des personnes purent entrer aussi. Dans les années 1550, la ville fut partiellement divisée entre les Catholiques et les Protestants, et l’évêque s’aligna avec Henry II de France pour les avances personnelles. Avec un groupe de conspirateurs, il dupa les citoyens de la ville que Henri fut seulement traversé la ville, et un coup d’état calme survint. Le Reichstag alla de l’autonomie à la subordination. Toul, aussi, fut pris facilement, mais Strasbourg, sauf le reste d’Alsace, tint ferme et se maintint libre et indépendant. Le jeune duc de Lorraine, Charles II, fut pris à Paris pour être neutralisé et naturalisé.
Charles V, Empereur des Romain, ne fut pas d’accord avec ce déroulement d’événements. Également, il assiégea Metz avec 60 milles de troupes flamandes, allemandes, et italiennes, avec soi-même et sa sœur Marie de Hongrie (régente des Pays-Bas) dans le champ de bataille en octobre 1552. Les mauvais temps et le succès de François de Lorraine, Duc de Guise forcèrent Charles de s’éloigner ses troupes en janvier 1553, avec seulement 12 milles de tropes restants. Ce défait fut un des plusieurs éléments qui causa Charles à abdiquer son trône en 1556. Son frère, Ferdinand Ier, devint l’Empereur en 1556 et tenta, faiblement, de recouvrer ses territoires, mais toutes les ambassades, négociations, et appellations à la Diète ne fit aucune chose.
Mais les ducs de Lorraine furent assez contents, parce qu’ils furent alliés avec France et les villes de Metz, Toul, et Verdun devint des villes françaises provinciales. Les cardinaux de Lorraine firent un mariage entre Charles II et Claude, fille d’Henri II de France (à droite), et lui élevèrent comme un propre français. Les résultats furent évidents ; Charles fut un catholique ardent, et il ouvrit une université jésuite à Pont-à-Mousson en 1573. L’université eut 1500 étudiants en 1603. Il unifia et codifia le système judiciaire du duché, et il obtint le droit de forger les monnaies avec quelques autres privilèges royaux dans ses fiefs français. Il réforma le calendrier de façon à que chaque année commencer après 31 décembre par un ordonnance du 15 novembre 1579, et il sanctionna l’adoption calendrier grégorien en 1582. Mais quand il essaya de devenir un souverain absolutiste, comme les rois français, il ne succéda pas, parce que les grands de Lorraine lui dit un « non » fermement. Charles II mourut en 1608.
Le Bataille de Verdun Champ de Bataille en Verdun
Les Soldats allemands dans Verdun
==La Deuxième Guerre Mondiale et les Années Après la Guerre==
Strasbourg, un port majeur sur les Rhin, est la capitale traditionnelle d’Alsace. Ses industries incluent du raffinage de pétrole, brasser, l’impression, le traitement de nourriture, et la métallurgie. Célèbre pour son université et son pâté, Strasbourg est siège principal du Conseil d’Europe. Le canal de Rhin-Rhône connecte Strasbourg avec Mulhouse, le Portail de Bourgogne, et Lyon. Mulhouse, avec une industrie chimique basée sur les dépôts de potasse locaux, et Colmar est le centre de l’industrie textile d’Alsace et Lorraine d’est. Les températures régionales font en moyenne 0,6 C de degrés en janvier et 19 C de degrés en juillet. La hauteur des précipitations annuelle étend de 510 à 1.020 mm.
Mulhouse
==Bibliographie==